1. Le chenil (1)


    Datte: 04/04/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... d’un très court instant, à fuir cette gueule.
    
    Mais non, ce chien parvient à me faire bander en me léchant simplement. La femme s’approche de moi, branle son chien d’une main, sa bouche se soude à la mienne. Je vais jouir si cela continue. Je peine à me retenir. Puis, sa bouche rejoint la bite du clébard. Je la regarde sucer ce chien qui ne cesse de me lécher la queue, même mes couilles y passent. À vrai dire, c’est nettement moins dégoûtant que je ne l’avais imaginé une fois qu’on y a goûté.
    
    Je jouis sur mon ventre, le chien lèche mon sperme, ne me laissant pour toutes traces que celle de sa bave. Sous lui, la femme s’active encore. Je bande encore, je contourne ce corps, enfonce ma queue dans le sexe de cette femme. Je sais pourtant que le chien a joui à l’intérieur, qu’importe, la tentation est la plus forte. Je baise cette femme qui pousse de jolis gloussements. Elle aurait très bien pu ordonner à son chien de m’attaquer après tout. Le chien me fixe, sa langue pendante, pleine de bave. Je vois bien qu’il va jouir. Je le caresse, il lèche ma main et sa croupe remue soudainement de manière presque brutale. Il vient de jouir. La femme le repousse tendrement. Sa main rejoint la mienne posée sur ses fesses. Le chien fait le tour, je sens sa langue entre mes fesses. Pendant un moment, j’ai peur qu’il ne cherche à m’enculer. Non, rien, il se contente de me lécher le fion et les couilles. La femme jouit, sa tête posée sur le sol. Je jouis peu après.
    
    Cette langue sur mon ...
    ... anus m’y a aidé fortement. Je suis mort cette fois, je roule sur le sol, m’allongeant près de cette femme. Le chien vient se coucher devant nous. Je colle mes lèvres sur celle de cette belle inconnue. Je crois bien que ce baiser vient de sceller une longue union de plaisir.
    
    — Colette, enchantée. Et si je peux, vous m’avez baisée merveilleusement.
    
    — Alain, tout aussi enchanté. C’est la seconde fois que je vous vois ici. Il est bien éduqué votre molosse.
    
    — Oui, il m’a fallu du temps, mais j’y suis arrivée. Il se nomme Hunk. Ce qui en anglais signifie baiseur !
    
    — Un nom qui lui va à merveille. Vous venez souvent par ici ?
    
    — Depuis que je dresse Hunk; en gros, un an et quelques une à deux fois par semaine.
    
    — Mince, dire que j’ai raté toute une année.
    
    — Il vous plaît ?
    
    — Pas que lui !
    
    — Alors, venez, on va chez moi, on y sera mieux.
    
    Comment refuser, c’est carrément impossible après ce que je viens de vivre. Je l’aide à se relever, le chien, lui, ne bronche pas tout le temps qu’on s’habille. On se sépare un moment, il est temps pour moi de rejoindre ma voiture. Quand elle arrive, je la suis.
    
    Je ne suis même pas étonné de traverser toute la ville d’est en ouest. En chemin, je me suis demandé comment tout avait été aussi facilement. C’est vrai, j’arrive, je baise une inconnue qui vient de se faire mettre par un bon gros toutou, il y a de quoi flipper. Bah, je verrais bien comment tout cela se goupille après tout. Puis, en rase campagne, elle bifurque ...
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