En voiture vers la mer
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
fhh,
couplus,
inconnu,
plage,
voyage,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
roadmovie,
lieuxpubl,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... pour l’état des sièges, mais au final, je m’en fiche !
Je la saisis par les hanches pour bien la pistonner, pour lui faire voir que c’est moi qui possède ce côté-ci du manche, comme pour la punir de se livrer ainsi à la débauche sous mes yeux, sans remords. Et avec une grosse satisfaction, à ce que je vois, car elle y va de bon cœur autour de la bite qu’elle a en bouche depuis tout à l’heure ! Ah, ces femmes ! Elles jouent les saintes-nitouches pour se révéler être des grosses gourmandes, une fois le pas franchi. Toujours cette histoire de premier pas qui reste le plus difficile à franchir…
Mais, foin de ces considérations philosophiques, j’ai plus intéressant et urgent à faire : jouir dans ce magnifique corps, dans cette splendide dévergondée suceuses de bites !
— Prends ça ! Tu aimes jouer les cochonnes ? Tu vas être servie !
Bien entendu, elle ne répond pas puisqu’elle a la bouche pleine et qu’elle ne veut pas abandonner son nouveau jouet ! Ça me stimule encore plus ; je me laisse aller, je la pistonne sans relâche, cherchant à entrer à chaque coup encore un peu plus loin en elle. Chacun de mes assauts se traduit par un bruit aquatique et incongru, c’est à la fois étrange et excitant !
Soudain j’entends un râle : Andreas jouit dans la bouche de ma compagne qui ne ralentit absolument pas la cadence. On dirait qu’elle s’en va chercher la moindre goutte de sperme !« Tu veux du sperme, ma cochonne ? Tu vas en avoir tout autant dans la chatte ! »
Un premier ...
... jet fuse, libérateur, glorieux, impérieux ! Que c’est bon de se vider ainsi ! Que c’est divin d’être au chaud de la sorte, de remplir ce corps offert ! J’ai l’impression de libérer des litres de foutre, de la combler dans tous les recoins, de faire en sorte qu’elle déborde, que ça ruisselle hors d’elle, qu’il y en ait partout, sur son sexe, ses cuisses, ses jambes, ses chevilles, ses pieds. Partout !
Après cet épisode très libérateur, nous sommes à présent dehors, face au camion ; l’air frais nous aide à mieux reprendre nos esprits. Me tournant vers lui, je dis à Andreas :
— Luck would have it… (le hasard fait bien les choses)
— Hummm, yes and no…
— Ah ? Why ?
Avec un sourire en coin, Andreas explique que du haut de sa cabine, il nous avait vus nous arrêter sur l’aire. Il avait décidé d’aller voir de plus près, juste comme ça pour le fun, tout en restant dans sa cabine. Il avait été très surpris en découvrant le visage d’Ariane. C’est alors qu’il s’était décidé à sortir.
Ariane le regarde, très étonnée et en même temps assez flattée. On dirait qu’Andreas prépare sa phrase, puis s’adressant à ma compagne, il se lance :
— Would you travel with me to Boulogne ?
— Me ? Travel with you ?
— Yes ! Of course, your husband follows us. And at Boulogne, you come back with your husband.
Dubitative, Ariane se tourne vers moi :
— C’est pas du tout à Boulogne qu’on allait.
— Merlimont est plus bas en effet, mais on peut aller à Sainte-Cécile, ça y ressemble beaucoup, ...