1. La lesbienne qui aimait un homme


    Datte: 02/04/2019, Catégories: fh, fbi, hbi, frousses, rousseurs, copains, gros(ses), amour, volupté, Masturbation intermast, Oral préservati, pénétratio, hdanus, ecriv_f, Auteur: Lys d'Oran, Source: Revebebe

    ... très belles dents et des lèvres charnues et bien dessinées qu’on aurait beaucoup de plaisir à embrasser et, en cette fin d’été, il était bien bronzé et avait un teint splendide de coucher de soleil sur les oliviers. Somme toute, un beau spécimen d’homme, et surtout tellement aimable qu’on sentait qu’il était quelqu’un de bien apprécié par tous.
    
    Au début, je le voyais de temps en temps avec Brice, mais nous avons très vite commencé à nous donner rendez-vous sans lui. Petit à petit j’appris à le connaître, et mon impression positive ne fut qu’accentuée. À chaque fois qu’on se voyait, c’était la fête. De tempérament optimiste et toujours de bonne humeur, il faisait contraste à ma mélancolie occasionnelle et me rendait carrément joyeuse en sa compagnie. C’était toujours un plaisir de se retrouver avec lui, et on s’amusait ferme. J’ai commencé à l’inviter souvent chez moi à la campagne, parfois pour un week-end, surtout quand nous recevions. Pas question de fêter sans Amine ! Gisèle l’adorait, et tous nos amis appréciaient sa compagnie autant que moi. Au fil du temps, il est devenu de plus en plus affectueux envers moi, et c’était réciproque.
    
    Un jour, à la suite d’une fête pour célébrer mon anniversaire qui avait été un franc succès, Gisèle est allée reconduire chez elle une amie qui avait trop bu. Brice restait car il passait le week-end, et Amine décida de rester aussi. Nous nous étions tous trois installés sur le grand lit de la chambre d’invités pour bavarder un peu ...
    ... après le départ des autres, et nous commencions à nous endormir. Nous nous sommes allongés, moi au milieu, pour faire un petit somme jusqu’au retour de Gisèle. Brice s’est vite endormi collé contre moi. Je tournais le dos à Amine, qui lui-même m’avait entouré de ses bras. Il ne portait qu’un slip et, plus tôt, je l’avais vu se déshabiller et aller faire sa toilette. L’alcool n’aidant pas, lorsqu’il s’est glissé sous le drap, j’ai eu des pensées inattendues pour une lesbienne. Toujours resplendissant de propreté, il sentait bon et il m’entoura de ses bras.
    
    Tranquillement, nous nous sommes mis à nous effleurer les bras tout en écoutant la douce et profonde respiration de Brice qui dormait comme un bébé à nos côtés. Ces effleurements devinrent de lentes caresses. Sa peau était si soyeuse, ses très belles mains tellement viriles et fortes, mais au toucher délicat et tendre. Je sentais son souffle sur mon cou, où de temps en temps il déposait de légers petits baisers. Ma propre respiration devenait de plus en plus profonde et rapide, au fur et à mesure que le désir montait. Je commençai à doucement onduler des hanches contre lui. Il ne s’y opposait pas ; au contraire, il multipliait les caresses. L’ai-je rêvé ou répondait-il subrepticement à mes mouvements, tout en évitant d’éveiller Brice ? Je savais bien que la suite n’était pas possible.
    
    Je me répétais : « Il est gay, je suis lesbienne, mon amante Gisèle va revenir d’une minute à l’autre, Brice est juste là et va se réveiller ...
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