1. La lesbienne qui aimait un homme


    Datte: 02/04/2019, Catégories: fh, fbi, hbi, frousses, rousseurs, copains, gros(ses), amour, volupté, Masturbation intermast, Oral préservati, pénétratio, hdanus, ecriv_f, Auteur: Lys d'Oran, Source: Revebebe

    ... Cette vie de couple avec cette femme me convenait à bien des égards. Mais, cette nuit-là, j’ai bien dû me rendre à l’évidence : malgré mes lettres de créance comme lesbienne engagée, je tombais amoureuse d’Amine.
    
    En dépit de la centaine de kilomètres qui séparent nos deux villes, Amine et moi sommes devenus inséparables au fil des mois qui suivirent : appels quotidiens, emails constants, va-et-vient les week-ends. Notre affection allait toujours croissant, mais elle avait ses limites : rien de plus depuis la nuit des caresses aux bras, comme je me la nommais. Un an passa ainsi et puis, au cours d’un de nos fameux week-ends, il y eut ce baiser. LE baiser.
    
    C’était à nouveau le soir de mon anniversaire, un an plus tard. Nous avions fêté en grande pompe avec une vingtaine d’amis dont les derniers venaient de partir. Tout cela bien arrosé, évidemment. Et, bien sûr, Amine restait à coucher, comme d’habitude. Gisèle était montée dans notre chambre depuis un bon moment, et Amine et moi sommes restés au salon, question de vider une dernière bouteille de vin et de faire le post-mortem d’une autre soirée très bien réussie. Nous étions heureux et, malgré tout le plaisir que nous avions eu en compagnie des autres convives, il faisait bon de se retrouver enfin seuls. Mais il se faisait très tard, nous étions fatigués, et il était temps de regagner chacun notre lit, séparément hélas, me dis-je. Mais pas avant de nous être dit "Bonne nuit" avec tout ce que cela impliquait de bises et ...
    ... de caresses. Comme toujours. L’affection qui se dégageait entre Amine et moi était toujours plus que celle qu’on retrouve normalement entre amis. C’était plus sexy et plus flirt que ce que l’on s’attendrait à voir entre une lesbienne et un homme gay.
    
    Quand nous étions dans une même pièce, il nous était impossible de ne pas nous toucher. Dans la rue, nous marchions toujours enlacés. Cela me faisait "un velours" qu’on nous prenne pour un couple. Amine est très beau et je me trouvais belle à son bras, comme par enchantement. Les regards envieux des hommes comme des femmes me faisait sourire. Malgré tout, Amine ne m’avait jamais vraiment embrassée sur la bouche, sauf un tout petit bisou très chaste la fois où je lui avais fait un voluptueux massage. Mais, ce soir-là, nos bises de bonne nuit prirent une toute autre allure. Tout a commencé comme les fois précédentes, avec une étreinte chaude, insistante et un peu ambiguë : nos baisers au cou avaient toujours une saveur décidément sexuelle, surtout qu’Amine savait que c’était une zone hautement érogène pour moi. Je les lui rendais, dans ce cou masculin mais doux à rêver, qui sentait toujours si bon, car Amine était toujours d’une propreté impeccable et savait se parfumer.
    
    Soudain, je sentis ses mains parcourir mon corps avec beaucoup plus d’insistance qu’auparavant. Je croyais rêver ; il me caressait le sein d’une main pendant que l’autre explorait toutes mes amples courbes, il me serrait plus fort contre son torse aux muscles ...
«1...345...14»