1. Nous avons tant de choses à faire...


    Datte: 02/04/2019, Catégories: fh, hdomine, odeurs, BDSM / Fétichisme chaussures, yeuxbandés, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    ... la dame. Chaque frottement de son sexe contre les parois internes de la femme d’affaires arrachait à celle-ci des feulements bestiaux. Elle avait déjà joui plusieurs fois…
    
    — Je vous trouve très belle quand je vous baise.
    
    Ce furent les derniers mots qu’il prononça avant d’exploser à son tour et que les deux corps s’agitent à l’unisson dans des spasmes synchronisés. Il se déchargea en elle, resta quelques moments au chaud, alla lui poser un tendre baiser sur la bouche et se retira.
    
    Il la fit descendre de la table avec délicatesse mais lui rappela ses dernières obligations :
    
    — Rappelez-vous : il vous faut me nettoyer.
    
    Avec docilité, elle prit la position souhaitée, sans barguigner. Elle prit en bouche le sexe de l’homme, ramolli à ce moment, et se fit un devoir de le nettoyer très consciencieusement.
    
    — Vous vous rappelez bien de votre obligation ?
    
    Presque comme une jeune fille timide, elle opina du chef et avala avec application le résultat de ces ablutions. Alors doucement, il lui prit la main, ouvrit le lit accueillant de cette chambre d’hôtel et l’aida à s’y glisser afin de prendre quelques moments de repos bien mérité.
    
    — Reposez-vous un peu pendant que je prends une douche.
    
    Il prit donc de son côté une douche bien agréable et très réparatrice en pensant au doux moment qu’il venait de passer. Il enfila son costume d’hommes d’affaires et revint ensuite doucement dans la chambre où la femme s’était presque assoupie. Un peu étonnée de le revoir ...
    ... dans ce costume qui lui parut insolite, elle fut rapide à sortir de sa torpeur.
    
    — Ecoutez… commença-t-elle.
    
    Il l’arrêta net en lui mettant sa main devant la bouche pour l’empêcher de parler.
    
    — De nouveau, je vous demande instamment de ne plus parler aujourd’hui ; de ne plus parler jusqu’à ce que nous nous séparions.
    
    Tout en parlant ainsi, il lui prit doucement la main pour l’aider à sortir du lit, lui demanda de remettre ses escarpins. Il aima ce moment impudique où, assis dans un fauteuil, il regarda la femme mettre ses talons aiguilles. Debout de nouveau, elle le vit arriver doucement, tenant en main son collant. Elle ne fut donc qu’à moitié surprise de le voir de nouveau lui bander ainsi les yeux. Il prit alors les affaires en main ; en l’occurrence, il prit doucement la dame par la main et la conduisit vers l’endroit où se situait la table de leurs récents ébats.
    
    Il lui mit cette fois-ci les mains en appui sur la table à laquelle elle faisait désormais face, les yeux bandés.
    
    — Reculez un peu par rapport à la table, afin d’être penchée.
    
    Elle était désormais presque à angle droit, offrant une splendide vue sur sa croupe.
    
    — Écartez les jambes, s’il vous plaît.
    
    Ce qu’elle fit sans tarder, et sans hésiter. Elle sentit aussi les mains de l’homme de nouveau solliciter son intimité, pour son plus grand bonheur et pour un plaisir qu’elle comprenait de nouveau arriver. Elle l’entendit nettement, derrière elle, dégrafer sa ceinture et laisser tomber son ...
«12...4567»