1. Nous avons tant de choses à faire...


    Datte: 02/04/2019, Catégories: fh, hdomine, odeurs, BDSM / Fétichisme chaussures, yeuxbandés, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :C’est la suite d’une scène commencée depuis bien longtemps et qui avait laissé les deux protagonistes dans un hôtel proche de la gare de Lyon (cf.Le TGV de 15 heures). Ne se connaissant pas trois heures auparavant, ils avaient décidé, en descendant du TGV, mus sans doute par un désir réciproque, de passer un moment ensemble dans un de ces hôtels proches de la gare de Lyon.
    
    La femme d’affaires, belle et mûre, n’était donc plus vêtue que de ses seuls escarpins et de sa culotte, descendue au niveau de ses genoux, mais qu’il lui avait demandé de ne pas enlever complètement. Elle était donc ainsi un peu gênée dans l’ampleur de ses gestes, ce qui faisait paraître ses mouvements particulièrement – mais bellement – impudiques.
    
    Après avoir disposé une douce couette sur la table qui était au milieu de cette vaste pièce, il aida la femme à s’y placer. Il hésita sur l’exacte position qu’il voulait lui demander d’abord, car il était assez évident qu’elle aurait à se montrer par la suite sous de multiples facettes.
    
    — Mettez-vous donc à quatre pattes sur cette table, lui suggéra-t-il doucement en savourant le vouvoiement utilisé.
    
    Un vieux fantasme : baiser en conservant ce vouvoiement d’habitude abandonné dans ces moments de grande proximité.
    
    — Non, non, non, pas comme cela, s’il vous plaît. Ne vous mettez pas en appui sur les avant-bras, mais sur les mains. Je préfère pour le moment vous voir en louve, avec vos seins bien libres qui vont se ...
    ... balancer superbement.
    
    Elle se redressa donc pour prendre la position demandée. La symétrie de ce corps, sur cette large table, était magnifique. La femme offerte, prête à être prise, en appui sur ses genoux et ses mains, constituait un magnifique spectacle. Il se félicitait de lui avoir demandé de garder ses escarpins et sa culotte à mi-genoux.
    
    — S’il vous plaît, prenez-moi… dit-elle à ce moment-là d’une voix tout-à-coup basse et traînante dans laquelle il crut entendre la montée du désir.
    — Chère Madame, ne soyez donc pas si pressée. Les choses viendront bien entendu en leur temps, mais ce serait mal utiliser un si beau moment que de trop brusquer les choses… Soyez patiente et obéissez à mes souhaits. Et d’abord, je vous demanderai de ne plus parler, sauf si je vous le dis. J’aime vous voir ainsi, comme une louve. Ou une chienne… C’est presque pareil. Je vais d’abord faire connaissance avec votre corps.
    
    Il fit plusieurs fois lentement le tour de cette table avec ce futur trophée qui y était superbement positionné. Sans la toucher, il contempla le corps de cette femme pour le moment immobile, dans la douce chaleur de cette chambre d’hôtel. Il l’imaginait dominatrice dans les réunions professionnelles qu’elle animait, sans doute avec autorité, dans sa vie de femme d’affaires. Il l’imaginait au contraire dominée et obéissante dans les minutes qui allaient suivre. Immobile et offerte pour le moment, comment serait-elle dans le feu de l’action ultérieure. Il se plut à ...
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