1. Nous avons tant de choses à faire...


    Datte: 02/04/2019, Catégories: fh, hdomine, odeurs, BDSM / Fétichisme chaussures, yeuxbandés, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    ... pénétrer avec lenteur. Nul doute que les autres doigts seront ensuite essayés, plus tard.
    
    Plusieurs allers-retours assez complets le long de la paroi intime de sa partenaire permirent à l’homme une première constatation :
    
    — Je suis déjà content de vous voir si mouillée ; c’est bien agréable, Madame.
    
    Il en avait assez pour mettre alors cet index dans sa propre bouche. Il fut plus qu’agréablement surpris par le goût qu’il découvrit ; presque un peu épicé, avec une petite aigreur, fort et évidemment sensuel.
    
    — Vous avez vraiment bon goût, Madame, dans tous les sens du terme ; il me faut absolument voir cela plus complètement.
    
    Il se dégagea de la bouche de sa partenaire, fit le tour de la table, s’installa confortablement à l’autre extrémité dans un solide fauteuil et fut ainsi plus à son aise – plus « à sa main » – pour regarder, caresser, frôler, pénétrer, déguster le sexe de sa partenaire. Comme prévu, tous ses doigts furent utilisés… y compris le pouce, qu’il suça avec délectation.
    
    Elle gémissait de plus en plus, sans doute frustrée de n’avoir toujours pas le droit de parler. Il eut envie alors qu’elle puisse se goûter elle-même.
    
    — Je suis bien entendu certain que vous connaissez très bien votre propre goût… lui susurra-t-il en mettant son pouce dans le bouche de la dame ; mais revenez-y quand même avec moi.
    
    Elle aima effectivement avoir en bouche son odeur personnelle que l’homme lui faisait partager lentement.
    
    — Il me faut maintenant vous enlever ...
    ... définitivement votre culotte, car elle vous empêche quand même trop d’écarter les jambes. De les écarter suffisamment pour ce que j’ai à faire entre vos cuisses.
    
    Il lui enleva donc délicatement sa culotte de soie blanche qu’il aima renifler et sentir. Une culotte déjà pleine des senteurs prometteuses qu’il voulait connaître encore mieux. Une culotte qu’il posa, pour le moment, sur son sexe dressé qui fit office de porte-manteau. La femme n’était désormais plus habillée que de ses escarpins, qu’il avait décidé qu’elle garderait aujourd’hui jusqu’au bout, de son collant, qui lui bandait les yeux, et de son parfum, envoûtant.
    
    Il lui fit comprendre qu’il fallait maintenant changer de position en ne se mettant plus en appui sur les mains, mais sur les avant-bras. Assis à l’autre bout de la table, il lui tira ensuite un peu les jambes vers lui afin d’être confortablement positionné entre les cuisses de madame. La croupe ainsi relevée et offerte, déjà ouverte, elle comprit d’elle-même qu’il lui fallait approcher son sexe du visage de l’homme dont elle sentait le souffle derrière elle. Il aima ce réflexe bestial. Il aima cette saine et simple animalité de femelle. Il apprécia qu’elle approche d’elle-même sa féminité de son visage, de sa bouche, de son nez, de ses yeux. Il aima cette docilité et cette directe sollicitation. Avant de s’enfoncer dans la découverte buccale de ce sexe, il ne put s’empêcher un coup d’œil intéressé au petit trou de la dame. Sage, fermé, rose, joliment ...
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