1. À l'amiable (3)


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: XavDum, Source: Xstory

    ... raconté en détail leurs ébats ? Etait-il au courant des innombrables pénétrations, des délicates fellations dont elle avait le secret ? Etienne, maintenant qu’il connaissait son visage, était-il en train de l’imaginer être sodomisée par Jean-Claude tout en suçant Edouard ? Cette situation était si gênante et pourtant si excitante...
    
    — J’en suis ravie, dit-elle, en essayant de se calmer. Je les apprécie énormément. Vous savez, avec eux, je suis très bien traitée, ils me respectent vraiment, j’espère qu’ils vous l’ont expliqué.
    
    — Ne craignez rien; ils ont été très clairs sur ce point, mais de toute façon, le respect des femmes est un sujet qui me tient à cœur, ils le savent et je pense que c’est pour cela qu’ils m’ont parlé de vous, répondit-il.
    
    — Avec eux, je me sens épanouie, à l’aise, notre relation se passe très bien, j’espère que vous savez vous comporter en gentleman comme eux, demanda-t-elle.
    
    — Ne vous inquiétez pas, répondit-il, ils me font confiance. Ils m’ont dit que vous étiez marié ?
    
    — Malheureusement avec un con, oui, fit-elle d’un ton désabusé. C’est grâce à lui d’ailleurs que j’ai rencontré Edouard, il a dû vous raconter. Je me venge de toutes ses brimades quotidiennes avec vos amis, ça me fait un bien fou...et à eux aussi.
    
    Etienne rit, elle le trouvait séduisant, intéressant, elle se sentait déjà beaucoup plus à l’aise. Le fait d’avoir parlé de son mari lui avait rappelé à quel point c’était un idiot et pourquoi il méritait tellement d’être ...
    ... cocu, elle se sentait de plus en plus excitée par cette rencontre.
    
    — Vous avez une carrière dans les environs ? reprit-elle.
    
    — Oui, plusieurs. Vous voulez que je vous y emmène, lui demanda-t-il ?
    
    Cela ne devait être qu’une première rencontre pour faire connaissance, mais Aurélie se sentait bien et reconnaissait cette chaleur qui commençait à monter dans le creux de ses reins.
    
    — Allons-y, faites-moi découvrir tout ça, dit-elle avec un sourire coquin aux lèvres.
    
    Ils prirent la Mercedes d’Etienne et en moins de 15 minutes, ils arrivaient déjà à la carrière. Ils se frayèrent un chemin entre d’immenses tas de cailloux de différentes tailles, la Mercedes allait bon train dans un dédale de chemins sans bitume laissant s’échapper une poussière blanche qui s’envolait à leur passage.
    
    Ils arrivèrent en haut de la carrière, la vue y était imprenable. Etienne se gara à côté d’un préfabriqué qui surplombait la carrière. Ils regardèrent un instant l’horizon au loin et le précipice à leurs pieds, puis Etienne sortit des clefs pour ouvrir le préfabriqué.
    
    Le cœur d’Aurélie battait la chamade, elle le suivit et entra dans le préfabriqué. Il n’y avait personne, juste un bureau, de nombreux classeurs rangés sur des étagères et des plans contre les murs. Des persiennes laissaient passer des rayons de lumière qui se projetaient sur le bureau, les murs et le sol.
    
    Entrée en dernier, Aurélie prit les clefs de la main d’Etienne et ferma la porte ce qui le fit sourire.
    
    — Ne le ...
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