1. À l'amiable (3)


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: XavDum, Source: Xstory

    Cette première expérience avec ses deux amants quinquagénaires avait été bouleversante, Aurélie avait du mal à y croire : non seulement le plaisir physique avait été très fort, mais le fait d’être traitée avec douceur et délicatesse avait décuplé son plaisir, elle avait l’impression de découvrir le principe même du plaisir qu’elle avait fini par oublier avec son idiot de mari.
    
    Ses deux amants la caressaient, l’embrassaient, la pelotaient avec délicatesse, elle avait adoré s’abandonner entre leurs mains. Avec eux, elle se sentait le centre des attentions, la déesse tant désirée avec laquelle il fallait prendre son temps, la respecter et lui procurer du plaisir afin qu’ils aient l’immense chance de la voir revenir à eux...
    
    Et pour revenir, elle revint ! Plus son mari était violent et odieux avec elle, et plus elle s’offrait des moments de détente avec Edouard et Jean-Claude. Parfois, elle allait rendre visite à Jean-Claude dans son garage, très simplement, elle se mettait nue dans le magasin de pièces détachées, elle s’offrait à lui, et le laissait la sodomiser pendant de longues minutes de délice. Aurélie rentrait alors chez elle pour retrouver son mari, elle aimait l’embrasser tout en sentant sa petite culotte humide du sperme de Jean-Claude qui s’écoulait de son bel anus.
    
    Son mari lui interdisait de conduire leur vieux Fiat, mais cela n’avait jamais traversé l’esprit d’Edouard de l’empêcher de conduire sa Porsche. Il la lui avait proposé, dès les premières ...
    ... rencontres, juste pour faire un tour, se détendre, la faire rire, lui changer les idées loin de son imbécile de mari. Cela plaisait beaucoup à Aurélie, certes elle aimait conduire une aussi belle voiture, mais elle appréciait surtout d’être respectée et considérée par Edouard sans aucune misogynie.
    
    Ces promenades en Porsche se reproduisirent de nombreuses fois. A chaque fois, Aurélie trouvait un endroit où s’arrêter, un parking à l’écart ou un simple petit chemin. Avec beaucoup de délicatesse, elle sortait le sexe d’Edouard, le masturbait puis le suçait. Elle ne voyait pas cela comme une obligation ou une rétribution, mais bien comme une envie, un désir. Edouard la laissait faire, il était doux, il ne cherchait pas à forcer les mouvements, Aurélie savait prendre son temps, elle léchait l’intégralité du sexe, le mettait en bouche et le faisait coulisser entre ses lèvres.
    
    Aurélie savait retenir l’orgasme d’Edouard jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et éjacule dans sa bouche. Elle adorait ce moment, celui où elle sentait le sperme jaillir sur son palais et sur sa langue. Aurélie restait alors quelques minutes avec la bouche pleine de sperme, continuant très lentement de faire aller et venir la verge dans sa bouche. Elle avalait alors le foutre par petite gorgée et terminait en nettoyant le gland et le prépuce en donnant de longs coups de langue.
    
    Bien évidemment? Aurélie se donna d’autres fois en même temps à ses deux amants, la double pénétration était devenue pour elle un ...
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