Les réceptions de M. Le Marquis (Partie VII)
Datte: 01/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Quintessence2017, Source: Hds
... sexe.
Je suis pris au piège, son sexe en bouche : contraint à le sucer sans arrêter au risque de m’arracher les seins.
Chaque mouvement de va et vient de mes lèvres sur son sexe humide m’inflige à la fois douleur et excitation intenses.
Pendant ce temps, un deuxième doigt s’est joint à celui qui me pénétrait le derrière.
Je me demande avec gourmandise quand donc ces doigts laisseront la place à un sexe turgescent. Pourtant, la soirée vient à peine de commencer.
Mon sexe s’est dressé sous l’excitation, ce qui ne manque pas de faire rire les invités encore présents lorsqu’ils s’en aperçoivent.
Monsieur De Viaud s’amuse à écarter son sexe avec de petits mouvements de bassin, m’entraînant inexorablement avec lui par cette chaînette qui me retient captif de son sexe.
Tout à coup, il annonce :
- Bon, ça suffit, il faut en garder pour plus tard ! Je suis satisfait, tu suces très bien. Maintenant va me servir un cognac, j’ai soif.
- Merci Monsieur. Tout de suite Monsieur.
Il ôte les pinces de mes tétons, et les doigts qui pénétraient mon anus se retirent. Je me lève aussitôt pour aller remplir le verre de cognac. J’aperçois en coin de mon champ de vision Monsieur le Marquis, en train de se lécher les doigts.
Monsieur le Marquis suggère à ses invités d’enfiler leur maillot et de passer au jacuzzi.
Dès que ces derniers, enchantés par cette proposition, sont partis se changer, il se tourne vers nous et ordonne d’aller préparer le terrain.
Blond ...
... et moi sortons illico presto avec des plateaux d’amuse-gueules ainsi que des bouteilles dans leur seau à glaçons.
J’allume le jacuzzi et nous nous postons bien droits à côté.
Peu de temps après, les invités reviennent en tenue de bain. Je me surprends à regarder leurs corps mais me ressaisis aussitôt : il nous est interdit de regarder à moins d’y être invités.
Ils passent un à un devant nous pour entrer dans le jacuzzi. Monsieur De Viaud prend un petit four au passage, et Monsieur Curval m’embrasse langoureusement. Je le remercie humblement.
Pendant que les invités sont dans le jacuzzi, nous restons postés à leurs côtés sans jamais bouger, à l’exception des aller-retours à la cuisine pour remplir leurs verres ou ramener des petits fours.
Ils devisent de tout et de rien, comme ils le faisaient au petit salon. Leurs propos semblent toujours très avisés, mais nous essayons de ne pas trop tendre d’oreilles indiscrètes, par respect.
Au bout d’un moment, Monsieur Trévigny revient se joindre à eux, visiblement comblé.
- Eh bien, Trévigny ! Comment était-ce ? Lance Monsieur Modeni.
- Délicieux ! Ce garçon en veut vraiment, je l’ai pris sauvagement et pourtant, il en redemandait toujours ! J’ai tout de même essayé de garder des forces pour la suite. Répond Monsieur Trévigny.
- Excellent ! Je crois que c’est une très belle fournée, nous allons passer une bonne soirée. Renchérit Monsieur.
À ces mots, Monsieur Modeni se lève :
- Tout cela me met fort en ...