Les réceptions de M. Le Marquis (Partie VII)
Datte: 01/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Quintessence2017, Source: Hds
Conformément aux instructions de Monsieur, je vais me positionner à genoux, jambes écartées et mains dans le dos devant le siège de Monsieur De Viaud qui commence à se caresser l’entrejambe. Pendant que je vais de Monsieur le Marquis à Monsieur De Viaud, j’aperçois Brun qui sort de la pièce escorté par Monsieur Trévigny. Peut-être est-ce lui qui va avoir l’honneur de se faire prendre en premier ?
Il est convenu que je dois attendre qu’il sorte lui-même son sexe avant de le sucer, à moins qu’il ne me signifie explicitement que je dois le sortir moi-même.
Monsieur De Viaud passe un doigt dans l’anneau de mon collier et tire pour amener mon visage contre le sien. Il pose ses lèvres contre les miennes sans délicatesse et m’embrasse.
Puis il me repousse violemment. Je me redresse et me remet en position, jambes écartées et mains dans le dos.
Monsieur De Viaud commence à me caresser le torse, à le palper, à me pincer les tétons. Il m’évalue, me teste.
- Bon, ça fera l’affaire, je t’autorise à venir me sucer.
- Merci, Monsieur.
Je déboutonne sa braguette et sors son sexe déjà tendu. C’est un sexe de bonne taille, au moins vingt centimètres, et il est circoncis. Je pose délicatement mes lèvres sur son gland rosé et entame une série de baisers sur toute la longueur de sa bite. Entre temps, des mains aventureuses ont commencé à me malaxer fermement les fesses. La surprise ne me déconcentre pas, et malgré l’envie de me retourner pour voir qui est mon bienfaiteur, je ...
... reste focalisé sur ce vit qu’il me faut sucer.
Après avoir longuement embrassé ce sexe, je le prends en bouche et entame la fellation.
Les mains qui tripotaient mes fesses se font de plus en plus aventureuses, jusqu’à ce que, enfin, un doigt lubrifié vienne s’introduire dans mon trou. La surprise me fait tressaillir. Pourtant je me rattrape aussitôt pour ne pas décevoir Monsieur De Viaud.
On me doigte désormais vigoureusement le cul, ce qui n’est pas pour me déplaire. Monsieur De Viaud, pendant ce temps, s’est emparé de deux petites pinces reliées par une chaînette, qui étaient posées sur un guéridon à portée de main, et a entrepris de me les poser sur les tétons. Comme je me démène comme un diable pour sucer son vit, il peine un peu à mener à bien la mission qu’il s’est lui-même attribuée. Je ralentis mes mouvements afin de lui faciliter la tâche, laissant ainsi le relais à ma langue qui redouble d’ardeur sur son gland.
Lorsque les pinces resserrent leur mâchoire sur mes tétons, je retiens un gémissement de douleur. Je ne dois pas montrer de signe de faiblesse pour ne pas le décevoir.
Je sors son gland de ma bouche pour articuler :
- Merci, Monsieur.
Puis je reprend le travail illico. Pourtant, Monsieur De Viaud me repousse. Je le regarde, intrigué, mais baisse aussitôt les yeux en me rappelant des règles énoncées par Monsieur le Marquis.
Monsieur De Viaud attrape la chaînette qui relie les pinces et tire dessus pour venir la coincer à la base de son ...