Médecin remplaçant partie 7: visites à domicile
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Surcouf, Source: Hds
... patiente alors, je n’ai pas vraiment perdu de temps.
Mme Corbois sauta sur l’occasion.
— Dans ce cas, vous ne pourrez pas me refuser un verre. Allez, venez, Martine cuisine toujours de trop, je serais ravie de partager ce repas avec vous. Dites-vous que c’est ma façon à moi de vous remercier de vous être déplacé.
Je me retrouve coincé et accepte finalement la proposition de ma patiente. Je pose ma mallette et me met à l’aise alors que Martine, la cuisinière, nous apporte le déjeuner. C’est un brunch délicieux agrémenté d’un vin rouge de choix, et nous devisons tous les deux, tant sur ma profession que sur sa vie à elle de rentière fortunée. Alors que je fais un plaisanterie, Mme Corbois éclate de rire et renverse son verre sur ma chemise blanche.
— Oh là là, je suis navrée, dit-elle. Vite, enlevez-la, je vais la donner à Martine pour qu’elle mette du produit dessus avant que la tâche ne sèche.
Alors, elle s’agenouille sur moi en faisant fi de toutes les règles de bienséance et déboutonne hâtivement ma chemise. Je ne sais pas si c’est l’effet du vin ou la vision de mes abdominaux sculptés, mais la bourgeoise reste fixée pendant quelques secondes sur mon torse nu avant de finalement me débarrasser de ma chemise souillée.
— Attendez, dis-je. Je ne peux pas rester comme cela, je n’ai pas de chemise de rechange.
— Venez, montons, je vais vous prêter une des chemises de mon mari en attendant.
M’attrapant par le bras, elle m’entraine à l’étage jusqu’à sa ...
... chambre. C’est une suite immense avec une salle de bain attenante, et un dressing aussi grand que mon appartement. Elle fouille dans les affaires de son mari avant de me tendre une chemise identique à la mienne, bien que plus large et plus petite.
— Je suis désolé, mais je ne vais pas rentrer dedans, dis-je.
— En effet, observe-t-elle. Mon mari est bien plus petit et plus costaud que vous. Et quand je dis costaud, c’est un euphémisme. Venez.
Elle me prend de nouveau la main et m'entraîne jusqu’à la chambre. Le lit est immense, et la chambre est entourée de fenêtres donnant sur le lac et les montagnes alentours, tandis qu’une bibliothèque complète le tableau, sur tout le pourtour de la pièce, juste sous les carreaux. Je suis debout, dos au lit, et Mme Corbois me fait face. Elle me regarde droit dans les yeux, les siens sont illuminés par une flamme ardente de désir, et elle parcourt mon torse nu de ses doigts, ce qui a pour effet de faire se dresser les poils sur mes bras et grossir la bosse de mon pantalon.
— Bien, dit-elle. Je pense qu’il va falloir nous occuper pendant que Martine nettoie votre chemise. Et puis, je dois me faire pardonner de vous avoir fait venir pour rien et vous remercier pour ce que vous avez fait pour moi la dernière fois.
— Je… ce n’est pas nécessaire… il n’y a pas lieu de…
— Taisez-vous, dit-elle en plaçant un doigt sur mes lèvres.
— Mais enfin, votre mari… Martine, le majordome, il va savoir.
Elle dépose un baiser de ses lèvres ...