1. Professeur, mais pas maîtresse - Partie 1


    Datte: 31/03/2019, Catégories: ff, fplusag, profélève, école, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Bijanus, Source: Revebebe

    ... disparaissent par la porte. Je me sens les joues rouges et le souffle court.
    
    — Quoi de plus courte ? me demande Rachel, la professeure.
    — Le… la… l’étude de cas ; c’était compliqué, trop. Faut que je fasse une étude plus courte.
    
    Je bafouille, avalant la moitié des mots.
    
    — Faut pas te mettre dans cet état. Tu sais, les élèves, moins ils en font, mieux ils se portent, et ils demandent toujours de faire plus simple. Faut pas que tu culpabilises.
    — Oui bien sûr ; je vais voir. Merci.
    
    Mon cœur bat très fort dans ma poitrine alors que je descends les marches menant hors de l’école. Une fois dans la voiture, j’essaie de me reprendre, mais tout mon corps vibre de sensations que je ne connais que trop bien. Immanquablement, je me remémore tout le cours, Marion en train de se faire tripoter, Suzie avec son air inflexible me disant « Une jupe plus courte », « Beaucoup plus courte », ses yeux perçants me dictant ma conduite, moi qui suis censée être sa professeure. Cela suffit à électriser mon bas-ventre, je sens mes bouts de seins se gonfler. Mon Dieu, je suis incorrigible !
    
    —ooOoo—
    
    Tout l’après-midi, j’ai été sur des braises. Heureusement, une visite à mes nouveaux voisins le soir venu, Julie et Ludovic (voir le récit précédent « Astronome à mateur » – n° 15283 et 15605) m’a permis de calmer mes envies.
    
    La semaine se passe ; inévitablement, je ne peux discuter au boulot qu’avec Muriel (voir le récit « Ma nouvelle collègue » – n° 15069) de l’incroyable ...
    ... déroulement de cette deuxième séance de cours. Une lueur de plaisir allume ses yeux à l’écoute de mon récit ; mille idées tordues doivent lui venir à l’esprit.
    
    Mais le travail aidant, le vendredi arrive sans que je ne repense à l’incroyable promesse faite aux « gagnantes ». Ce n’est que le matin que ce jeu stupide dans lequel j’ai bien voulu entrer me revient à l’esprit. Le cours débutant à 10 h, j’ai tout le temps de me poser des questions. Mais malheureusement le bon sens – comme souvent avec moi – cède vite la place à mes pulsions.« Et puis, après tout, le printemps commence à être bien là : y a pas de mal à mettre une jupe courte. » dis-je dans ma tête, à la recherche d’une excuse pour céder à la tentation.
    
    Mon dévolu se jette sur une jupe jaune fané, légère, et au tissu fin et élastique. La jupe mise, elle m’arrive tout juste à mi-cuisses ; le tissu est tendu et étiré sur mes hanches et mon fessier rebondi – on dirait que mon bassin a un peu trop profité de l’hiver. Le matin étant encore frais, je gaine mes jambes de bas autofixants noirs dont le haut se finit par une très large bande de dentelle lourdement décorée de multiples volutes et broderies. Je mets un top jaune aussi, à bretelles, bien sage, et une veste noire.
    
    Ce n’est que lorsque je suis au pied des marches permettant d’accéder au bâtiment de l’école que je prends conscience d’avoir totalement obéi à la folle demande de Suzie. Je respire un grand coup et je monte les marches. Les hauts talons de mes escarpins ...
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