Professeur, mais pas maîtresse - Partie 1
Datte: 31/03/2019,
Catégories:
ff,
fplusag,
profélève,
école,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Bijanus, Source: Revebebe
... main.
— Je pense qu’on a fini !
— Euh, bien, je vais voir ça.
J’étais loin de penser qu’elles seraient les gagnantes du « concours », vu leur occupation pendant la partie explication. Il est évident que j’ai sous-estimé Suzie. Je descends de mon bureau ; mes talons claquent sur le sol quand mes pieds se posent. La sirène marquant la fin de l’heure retentit à ce moment-là, je dois libérer les élèves.
— Je vous laisse réfléchir dessus pendant la semaine et je ferai un corrigé de cette étude de cas en début de cours.
Le bruit de chaises et le brouhaha remplissent la salle, les fauves sont lâchés. Suzie et Marion restent plantées devant moi.
— Et pour nous, c’est correct ?
— Euh… je regarde ça.
Je pensais me débarrasser des deux, mais elles ne sont pas décidées à me laisser. Je parcours leur travail, et ma surprise se poursuit : tout est correct. Un sourire malicieux s’affiche sur le visage de Suzie quand j’annonce :
— Bien ; c’est bien, ça : c’est quasiment tout juste. Bon, à la semaine prochaine !
Je tends la feuille et je me retourne vers mon bureau quand elle m’interpelle.
— On peut donc vous demander ce que l’on veut pour la semaine prochaine.
— C’est ce que vous avez dit.
— Oui, ça vous a motivées, on dirait, dis-je un peu sur la défensive.
Mon sixième sens allume toutes les lumières, je sens venir un truc.
— Eh bien, on voudrait…
Un court silence se fait.
— …vous voir dans une jupe plus courte !
Mes yeux s’écarquillent de ...
... surprise ; je vois Marion passer au rouge vif mais Suzie, elle, reste plantée devant moi avec son air dominateur, sans ciller.
— Co… comment ?
— Vous avez dit de demander ce qu’on voulait ! insiste-t-elle.
— Ben oui, mais je…
N’importe qui – enfin, un vrai professeur pour le moins – aurait rabattu le caquet de cette effrontée et l’aurait remise à sa place ; mais je reste comme une gourde, ne sachant quoi répondre. Je sens aussi malheureusement mon second moi envoûté par cette requête irréelle, voire une forme d’excitation poindre le bout de son nez entre mes cuisses. Décidément, cette fille est machiavélique et sent les choses et les gens qu’elle peut avoir à sa merci et manipuler.
— Bonjour Catherine, dit une voix derrière moi.
Je me retourne : la professeure prenant ma suite dans la salle rentre, les bras encombrés de divers documents.
— Alors, ça se passe bien, ces débuts dans le monde des professeurs ?
— Euh oui, très bien, merci.
Soulagée par cette bouée de sauvetage inespérée, je poursuis :
— Bien les filles, à la semaine prochaine.
— Avec notre promesse ? insiste toujours ma diabolique Asiatique.
— Je… je verrai, dis-je en bafouillant.
« Mais pourquoi j’ai dit ça ? Quelle conne ! Déjà qu’elle me pense sous son contrôle pour oser me demander ça, je lui mets tous les feux au vert… »
— Et, bien plus courte !
— Je verrai, dis-je toujours aussi tremblante.
« Et je continue… Je suis vraiment la reine des gourdes ! » Les filles, satisfaites, ...