54.8 Le jeune loup à poil doré et le bel étalon à poil très brun.
Datte: 31/03/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... sa braguette, elles font glisser le boxer et le jeans, libèrent une belle bête chaude et odorante de milles délicieuses arômes de mec ; je me penche sur lui, je le prends en bouche, je commence à astiquer cette jolie queue au pelage doré ; pendant que je le suce, le bogoss tire de bonnes taffes sur sa cigarette, il expire de grand nuages de fumée ; entre les deux, des gémissements légers m’indiquent la montée de son plaisir de mec ; sa main libre se pose lourdement sur ma tête, m’obligeant à avaler sa queue jusqu’au fond de ma gorge ; le bogoss est vraiment très excité ; son rugissement de mâle en rut me surprend, alors que je le croyais encore sa jouissance lointaine ; je sens son corps se cambrer, j’apprécie les soubresauts de sa queue pendant qu'il se répand à long traits brûlants et puissants dans ma bouche, pendant que le goût de son jus chaud de ptit mec explose dans mon palais, coule dans ma gorge…
« Il t’a carrément retourné comme une crêpe, ton brun qui fait la gueule ! » fait le bogoss en m’extirpant de ma folle rêverie.
« Il ne la fait plus… ».
« Oui, il te baise à tout va en ce moment… ».
« Il fait plus que me baiser… ».
« Mais tu me kiffes grave, et si je disais oui, tu ne dirais pas non, j’en suis sûr ! ».
Pourquoi est-ce qu'il me demande ça ? Ça lui intéresse vraiment que je le kiffe ?
« Arrête, tu sais même pas où donner de la queue avec toutes les nénettes qui ont envie d’y gouter ! ».
« C’est vrai en plus... tiens, aujourd’hui, ...
... j’ai une journée chargée… Sandrine vient chez moi à 16 heures pour prendre sa branlée… et ce soir ma copine rentre de Perpignan… ».
« Ah, t’as une copine ? ».
« Depuis un an… ».
« Et t’as jamais pensé à être fidèle ? ».
« Avec mon taf, je suis trop sollicité… et je suis faible… les trois quarts des nanas que je forme veulent coucher avec moi… même toi, tu me trouves canon… » il lâche, tout en me pinçant doucement le téton.
Je frissonne, je bande. Le contact est super agréable, et il se prolonge. Je fixe le pont du périf et je sens mon corps conquis par l’excitation, tout en étant rongé par le sens de culpabilité.
« Arrête, Julien, s’il te plaît… ».
« Cause toujours, ton corps ne ment pas… je suis sûr que tu aimes… ».
Son doigté est très agréable et très sensuel. L’excitation semble prendre le pas sur la raison… je ferme les yeux et…
Et les images sensuelles et douces de mon bobrun font surface dans mon esprit ; je me revois, collé à son dos, en train de le caresser, de le branler ; je vois son visage crispé sous la vague de plaisir, je vois sa bouche qui frémit ; je retrouve toutes les sensations du contact avec sa peau, avec son corps, l’excitation, l’émotion, la sensation de bien-être, de douceur, de bonheur. Je repense à son baiser et les frissons du cœur que ce simple souvenir provoque en moi, s’élèvent au-dessus des frissons sensuels provoqués par les pincements des doigts de Julien sur mes tétons.
« Arrête, Julien, vraiment ! » je m’entends ...