1. Les peintres


    Datte: 29/03/2019, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, jeunes, couleurs, extracon, fsoumise, cérébral, Oral pénétratio, confession, amourcach, extraconj, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... la joue à nouveau élève des bonnes sœurs au niveau habillement, et file sans même dire au revoir pour notre promenade au parc. Malgré les braillements de Camille affamée, je ne rentre qu’à l’heure où je sais qu’ils ont fini de déjeuner. De toute façon, la cuisine est en chantier. Je me boucle dans ma chambre devant une série télé particulièrement soporifique.
    
    Un grattement à la porte me tire de ma somnolence.
    
    — Élodie, c’est moi, Rachid, ouvre-moi, susurre-t-il à voix basse.
    — Rachid, oublie ce qui s’est passé entre nous, je t’en prie.
    — Non, Élodie, je te veux dans mes bras !
    — Je ne veux pas, il y a Manuel.
    — Bon, je reviens vers 17 heures, me glisse-t-il après un long silence.
    
    À l’heure habituelle, j’écoute à travers la porte les deux ouvriers partir. Je n’ai même pas contrôlé le chantier, Steph le fera plus tard. J’entrouvre la porte, ils ne sont plus là. La cuisine, devenue lumineuse, est particulièrement réussie. L’appartement est tellement mieux comme ça !
    
    Je prends Camille dans mes bras et lui fait découvrir notre nouvel havre. Elle me comprend et me fait un adorable sourire. Je quitte mes vêtements de nonne et enfile une petite robe noire qui m’arrive à mi-cuisses. J’ai enfin le cadre de vie dont je rêvais…
    
    C’est alors que résonne le timbre de la sonnette. Par l’huis, je distingue Rachid, avec un bouquet de roses à la main. J’hésite à lui ouvrir, il m’implore, je lui ouvre.
    
    En un tour de main, je me retrouve dans ses bras. Il m’enlace, ...
    ... m’embrasse, me dévêt me caresse partout. Puis me dis :
    
    — Marche, nue, devant moi.
    
    Par jeu, je me déhanche et ondule devant lui. Je le vois alors sortir son portable et me prendre en photo dans le plus simple appareil.
    
    — Non, pas ça, lui dis-je.
    — Alors, viens le prendre !
    
    S’ensuit une course poursuite, il se réfugie… sur mon lit ! Je saisis l’objet du délit, il me saisit les hanches, m’éloigne de lui et me regarde longuement. J’examine sa queue, qui pointe virilement. Jamais je n’en avais vu d’aussi longue. Le gland, bien rouge, est entièrement décalotté, il doit être circoncis. La tige est fine et longue, des veines bien dessinées la marbrent tout du long. Il s’avance, bouche tendue, vers moi, et me gobe un téton.
    
    Il me tête goulûment.
    
    — Ton lait est bien meilleurs que le lait de chamelle.
    — Laisse en un peu pour la petite, chameau que tu es ! Je vais boire le tien !
    
    Nous éclatons de rire, je me glisse sous lui, il tourne autour de moi. Je prends son pieu dans ma bouche, il embrasse mon minou, nous nous dévorons l’un l’autre. Nous jouons à qui fera craquer l’autre en premier ; malgré tous mes efforts, il gagne d’une courte… tête !
    
    Allongés l’un contre l’autre, il fait courir ses doigts de mon cou à mes seins, de mes seins à ma chatte, remonte doucement. Je frémis sous la palme de ses doigts ensorceleurs. Il me dit dans un élan de franchise :
    
    — Élodie, tu es la première française avec qui je fais l’amour.
    
    Ce gamin sait me faire craquer, décidément, et ...
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