Les peintres
Datte: 29/03/2019,
Catégories:
fhh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
extracon,
fsoumise,
cérébral,
Oral
pénétratio,
confession,
amourcach,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... que, nourrissant ma fille, je ne peux pas faire d’excès. Je déjeune avec eux, toujours saoulée par l’incessant flot de paroles que déverse Manuel, pendant que Rachid me couve de son regard que je soutiens parfois. Nous déjeunons ensemble puis réaménageons le salon, ils attaquent la cuisine.
Assise sur le divan, je lis un magasine, lorsque je sens dans mon dos une présence. Je ne sais trop pourquoi, je ne me retourne pas. Une main délicate se pose sur ma nuque, de longs doigts dont la peau obscure contraste avec des taches de peinture blanche se glissent sur mon cou, le contournent. Ils atteignent mon petit pendentif et jouent avec l’espace d’un instant. Un doux engourdissement me gagne, je ferme les yeux… Ils progressent sous mon soutien-gorge, s’arrêtent pour ouvrir les boutons de mon corsage, explorent mon aréole. C’est doux, c’est bon, je rejette ma tête en arrière, les yeux toujours clos. Je sens le bassin de mon tourmenteur contre ma nuque. Le bruit des scratches de mon soutien-gorge d’allaitement me font sursauter en s’ouvrant.
J’entrouvre un œil, ses doigts caressent mon téton enflé, un petite goutte de lait s’en échappe, je devine à son geste qu’il l’a portée à ses lèvres. Son autre main se pose sur mon genou dénudé, il se penche en avant au-dessus de moi. Je sens son membre fièrement dressé contre ma nuque, la main inquisitrice monte lentement mais résolument sur ma cuisse, pendant que l’autre est revenue me presser le bout du sein en le faisant couler. Je ...
... murmure toute une série denon qui sonnent comme desoui. Arrivée à la limite de mon shorty, la main s’arrête, je retiens mon souffle…
Rachid a contourné le divan, il s’accroupit devant moi, je le regarde, il me regarde, nous nous sourions, et son sourire m’émeut. Je suis dépoitraillée, seins à l’air, il fait glisser ses mains le long de mes hanches, relevant ma jupe sur mon ventre. Ses doigts tirent avec douceur mon shorty vers le bas, je me soulève pour l’aider, il l’enlève mon dernier rempart, et, se penchant, fixe ma féminité.
— Élodie, je n’ai jamais vu femme aussi belle que vous.
Je m’ouvre à son regard, je me sens toute humide. Il avance son visage vers moi, et je reçois un véritable choc électrique lorsque sa bouche se pose sur mes lèvres intimes. Une langue friponne s’insinue dans mon ventre, j’attire sa tête à moi. Ses dents mordillent mon bouton, je sens une lame de fond m’envahir, je le serre très fort entre mes cuisses, et un ouragan traverse mon corps.
Lorsque je reprends mes esprits, il est toujours là, devant moi, me regardant, la bouche mouillée de mes sucs. Il sourit, me prend la main, je me lève, il m’appuie sur le dos et me couche sur le ventre en travers du divan. Il tire mes hanches à lui, relevant ma jupe sur mes fesses et m’écarte les cuisses. Je me retourne, il a sortit son membre, orgueilleusement dressé. Il est à son image, fin, long, très long, noueux. Il s’approche de ma fleur, en écarte les pétales, et d’une lente poussée, m’investit de son ...