1. Nathalie et moi: les lieux de nos rencontres


    Datte: 29/03/2019, Catégories: fh, couple, extracon, piscine, forêt, campagne, hotel, voiture, amour, pénétratio, confession, nostalgie, Humour extraconj, Auteur: Patswing, Source: Revebebe

    ... notre baisodrome à roulettes ? Il ne faudrait pas non plus se faire attraper la main dans le sac (heuuuuu… La main dans la culotte ! Ou sur le « sac » !) par la maréchaussée… Ou par un garde-forestier !
    
    La toute première fois, nous nous sommes garés dans une zone touristique peu fréquentée (soi-disant !) en cette époque de l’année (c’était le tout début du printemps, le lieu était dédié à la baignade au bord d’un lac). Nous avions trouvé un endroit sympa, un petit chemin pas très éloigné de la route, qui nous permettait de surveiller la route d’accès tout en commençant à nous chauffer sérieusement, toujours sur les places avant. Très vite j’eus une main dans son string sous sa robe légère, l’autre autour de sa nuque pour un baiser langoureux… Elle adorait que je la doigte, j’avais dès notre première fois trouvé son point G et je ne me lassais pas de le masser dès que j’en avais l’occasion. Et elle de jouir vite et fort sous mes caresses… Pour me remercier, elle défit ma ceinture et ouvrit mon pantalon, pour m’emboucher en une pipe délicieuse dont elle avait le secret…
    
    En semaine, un matin… Sortie sportive des classes en VTT… Une bonne quarantaine d’ados véliportés déboulent du sentier dans lequel nous étions garés, depuis derrière nous. Comme j’avais engagé la voiture en marche arrière, avec vue sur la route, et que ma belle commençait à me faire perdre pied, je ne les ai pas vu arriver, mais dès qu’ils furent sur nous, d’une main je plaquai la tête de ma chérie sur mes ...
    ... cuisses, ma queue bien enfoncée dans sa gorge, et de l’autre main j’attrapai une carte routière qui traînait sur le tableau de bord, en même temps pour me donner une contenance et pour cacher ce qui se passait si un coup d’œil curieux essayait de voir ce qui se passait par la vitre.
    
    Nathalie, juste prévenue par un « bouge pas, y’a du monde ! », obéit à moitié… Une fois la surprise passée, et rassurée par le déploiement de la carte (qui, je le constatai plus tard, la cachait un peu mais n’aurait jamais leurré un regard posé plus d’une fraction de seconde), ne bougea plus la tête, mais ses doigts et sa langue reprirent un lent massage.
    
    Une fois nos bruyants cyclistes passés, j’allais m’épancher dans sa bouche, mais elle se redressa avant de m’avoir fini et me jeta un « allez, on fout le camp d’ici ! ».
    
    Mettez-vous à ma place : à quelques secondes de l’éjaculation salvatrice, sa fellation avait pris fin brusquement, et ma chérie entretenait mon érection en massant mon sexe frustré, la main dans la braguette ouverte de mon pantalon pour le reste refermé, nous sommes repartis à la recherche d’un coin tranquille, avec l’envie commune de continuer nos ébats.
    
    Ce jour-là nous eûmes droit à la loi des séries… Un petit chemin recouvert d’une végétation prouvant une fréquentation rare, nous nous étions enfoncés sur ce chemin sur une bonne centaine de mètres. Passés à l’arrière, ma chérie me chevauchait ardemment sur la banquette, tout à coup elle s’arrête : une voiture s’est ...
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