Nathalie et moi: les lieux de nos rencontres
Datte: 29/03/2019,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
piscine,
forêt,
campagne,
hotel,
voiture,
amour,
pénétratio,
confession,
nostalgie,
Humour
extraconj,
Auteur: Patswing, Source: Revebebe
... C’était une piscine intérieure de trois mètres sur six et chauffée… Séparée du cabinet de kiné, nous avions même une clé pour nous isoler complètement. Oh, je suppose que le kiné devait savoir ce que nous comptions y faire, mais nous ne devions être ni les premiers ni les derniers.
Avez-vous déjà pu profiter d’une piscine privée ? Je vous le conseille, surtout accompagné d’une partenaire aussi chaude et excitée par l’eau ! Nous nagions un peu, je l’attrapais ou elle m’attrapait, et nos sexes se retrouvent tout naturellement imbriqués l’un dans l’autre. En plein milieu de la piscine, elle flottant sur le dos, je la labourais debout. Ou bien elle accrochée à l’échelle, je la prenais aussi puissamment que me le permettait l’eau. La pipe sous-marine est très agréable aussi, quoique de courte durée entre deux remontées pour qu’elle puisse respirer.
Évidemment, nous ne pouvions pas louer cette piscine pour chacun de nos rendez-vous, le kiné n’aurait pas trop apprécié qu’on prenne sa piscine pour un hôtel…
De temps en temps, nous garions la voiture pour nous promener le long du canal qui passait à quelques centaines de mètres de chez elle. Les alentours du chemin de halage étaient parsemés de petits bosquets qui nous permettaient de nous abriter des regards des promeneurs, pêcheurs et autres joggers. Abrités par une butte ou un buisson au feuillage garni, nous déposions une couverture au sol, ou bien nous prenions appui contre un tronc d’arbre et laissions libre cours à ...
... notre passion.
Les jours où il faisait vraiment bon, nous nous rendions tout près d’un très joli point de vue sur la Meuse. Nous laissions la voiture, et nous prenions un sentier de promenade dans les bois, munis d’un sac à dos. Dans ce sac, des victuailles (parfois des fraises et du champagne, divinement érotique), une couverture, un matelas autogonflant, et une tente igloo qui se montait en deux ou trois minutes. Nous suivions le chemin sur quelques centaines de mètres, pour le quitter et aller à travers bois, pour trouver une petite clairière propice à nos ébats. Parfois nous ne prenions même pas le temps de déployer la tente, nous faisions l’amour en plein air, caressés par les rayons de soleil filtrant entre les branchages, seulement embêtés par quelque moustique, ou par le bruit furtif d’un animal encore plus discret que nous. Curieusement, nous n’avons jamais vu ou croisé quiconque dans ces bois, ce qui nous arrangeait bien.
Les jours plus pluvieux, finalement, las de la voiture, nous avons pris le risque de nous voir chez elle. Je garais ma voiture assez loin dans sa rue, je passais une première fois sur le trottoir d’en face, lorsqu’il n’y avait personne, je traversais, et juste avant de passer devant chez elle, je faisais sonner son portable. Elle ouvrait la porte, je me glissais furtivement chez elle. Et nous passions la journée à faire l’amour, à baiser, au début dans son salon, par « respect » de la chambre conjugale. Mais très vite, notre petit bonheur était ...