Kamila, la vache et la paille - Histoires de Sexe

Kamila, la vache et la paille

... je crains que tout soit à refaire! »...

Nous nous sommes alors endormis quelques heures dans la paille, à l'abri des regards... À mon réveil, le crépuscule était là, une lumière ambrée donnait au corps de Kamila une beauté cuivrée incroyable.

J'étais très excité de nouveau. Était-ce l'odeur prégnante des champs? Avais-je rêvé de Pénélope dans mon sommeil? Ou de Kamila avec des gros seins pleins d'un lait qu'elle faisait couler dans ma bouche? Je sentais que la campagne avait agi sur moi comme une potion magique... Avait-elle agi également sur Kamila?

Je regardai ma queue, raide comme jamais, gonflée par le désir, à la texture brute et bestiale comme la bite d'un taureau avec des boules grosses comme de belles oranges... Ma queue complètement verticale tapait contre mon ventre tellement le sang affluait dans les tissus. Elle oscillait d'avant en arrière et semblait toujours durcir d'avantage à la vue de l'entrée de la matrice de Kamila, cette fente toute mouillée qui rougeoyait de manière très impudique dans le crépuscule...

Kamila était endormie, avec des morceaux de paille dans ses cheveux noirs, allongée sur le dos, nue, alanguie, son sexe étalé devant mes yeux. Une dizaine de vaches était autour de notre meule, et cette "solidarité" touchante me confirmait dans l'idée que quelque chose s'était passé pendant notre sommeil.

Mes narines reniflaient de manière sonore la chatte de Kamila et ses effluves intimes. Mon souffle était chaud et rapide.

Je me mis ...

... alors à quatre pattes et tout en regardant les vaches qui s'étaient approchées de notre meule, je m'efforçais à plusieurs reprises de saillir Kamila dans son sommeil. Mais ma queue bien que dure à l'extrême ne parvenait pas à ses fins. Prenant appui sur mes deux mains, posées contre ses flancs, je ne pouvais m'en servir pour guider mon sexe. Le bout de ma queue frôlait régulièrement son pubis ou le haut de ses cuisses mais le gland ne parvenait toujours pas à se fixer au milieu des lèvres et à s'introduire dans la matrice.

Kamila se réveilla alors que ma queue dérapait une nouvelle fois sur son sexe sans y pénétrer. Sans dire un mot, elle regarda ma tige et fut stupéfaite à la vue de ce membre énorme, noueux, d'une couleur brune dont les veines sombres turgides palpitaient. Cette queue qu'elle n'avait jamais vu aussi grosse la fit tressaillir fortement, et elle écarta encore davantage ses cuisses pour me montrer avec une excitation redoublée la porte offerte et ouverte de sa matrice fertile.

Son regard était constamment fixé sur cette tige pleine de vie qui n'arrêtait pas d'osciller et de taper contre mon ventre. Elle était estomaquée surtout de voir un imposant filet de pré semence qui était expulsé en permanence de la fente du gland écarlate et glissait le long de la tige. Cette bestialité à l'état pur activa encore plus ses sécrétions vaginales.

Subitement, mes boules tellement lourdes et grosses qu'elles tendaient leur sac au bord de la rupture se contractèrent, le ...