Kamila, la vache et la paille - Histoires de Sexe

Kamila, la vache et la paille

... prête à l'emploi, je ne pensais plus qu'à copuler. Nous étions revenus au temps des cavernes et des peaux de bête.

Kamila s'est alors calée face à moi, les genoux relevés, ses cuisses ouvertes de manière à la fois obscène et amoureuse, son sexe rose béant, ses petits seins frais et arrogants libres désormais, sa robe enroulée comme une serviette autour de sa taille, les fesses bien posées sur un bloc de paille, et son bassin idéalement relevé pour me permettre une pénétration facile et très profonde.

Alors j'ai posé mes mains sur ses cuisses, les écartant encore un peu plus, et j'ai lentement poussé ma tige raide et pleine de sève dans son ventre.

Nos bassins se collaient l'un à l'autre, nous étions accouplés parfaitement, l'amour amenant nos sexes dans la position idéale.

Cela faisait un quart d'heure que j'allais et venais dans cette gaine de velours amoureusement offerte. Je sentais ma queue brûler dans le sexe somptueux de Kamila, l'odeur de la paille me donnait encore plus envie de jouir en elle, de lui offrir une sève printanière dont la sensation à l'intérieur quand elle coulait abondamment lui donnait très souvent un orgasme.

Et puis nous avons entendu un bruit. Kamila a arrêté de gémir, a mis un doigt sur ses lèvres pour me faire signe de rester silencieux. Ma queue a quitté son antre chaleureuse et restait là dressée, verticale et toujours disposée à court terme à exploser dans le sexe de Kamila.

En bas, un type d'une cinquantaine d'années, sans ...

... doute le propriétaire des lieux, avançait en poussant une grosse vache qu'il appelait Pénélope et il l'immobilisa bientôt en lui fixant un extracteur de lait sur un pis. A l'aide d'un petit escabeau, il monta derrière la croupe de Pénélope et après avoir baissé son pantalon, il commença à frotter un pénis flasque contre les grosses lèvres adipeuses du mammifère.

D'un coup d'oeil rapide, je comparais avec facétie les lèvres de Pamela et celles du ruminant et lui dit : « les lèvres de ton sexe sont beaucoup plus mignonnes que celles de Pénélope, chérie! Ne sois pas jalouse! ». Elle rigola sans faire de bruit, et me répondit « idiot! ». Je lui fourrai deux doigts dans son vagin toujours trempé pour m'excuser.

Nous n'en revenions pas d'assister en témoins cachés à cette scène improbable. Et nous fûmes surpris de constater que le pénis du paysan durcissait à vue d'oeil au contact de sa protégée. Grâce à l'escabeau, le bout de sa queue était parfaitement à hauteur du sexe de Pénélope, et il le frottait maintenant avec ardeur contre cette grosse masse de chairs sales, épaisses et ridées.

De son côté, l'extracteur ne donnait que peu de résultat, il semblait que la vache n'avait pas mangé d'herbe depuis une semaine, ou alors elle était pauvre en lait. Le paysan commença à lui parler comme si elle avait été sa compagne : « Pénélope, tu ne m'aimes plus ou quoi? Où es donc ton lait cré nom de dieu? Je te nourris, je te loge, je m'occupe de toi, et toi tu ne me donnes pas de lait! ...