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U n pote de régiment
Datte: 24/02/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... porc. J'étais honteuse. Le soir même il eût le front de revenir sous un prétexte fallacieux. Il brandit sa main dont j'eus peur. L'homme était brutal. Mon premier maquereau m'avait soumis ainsi. Aussi ne mis-je pas longtemps docile à lui prodiguer une fellation. Je renouais avec mes anciennes pratiques. On eût dit que je n’attendais que cela. Il triomphait. Il me balançait ce qu'il savait et des rumeurs qu'on colportait sur moi. J'avais fait le trottoir. On pouvait m'avoir à bon compte. Cette nuit-là derechef il s'imposa dans la couche de son neveu et entre autres m'y sodomisa plusieurs fois. Je ne fus pas peu triste du plaisir que j'y pris. Il n'y avait pas de doute. Les joies du ruisseau m'avait manqué. Mon mari avait le tort d'être un faible. L'oncle décréta qu'il disposerait de loi à volonté et notamment qu'il escomptait que je contentas d'autres que lui dont des amis. Il ajoutât benoîtement qu'il savait son neveu passablement radin. Bref je serais prostituée mais payée grassement. Je ne fis nulle résistance à cela. Cela se passait des fois dans une sorte de bain turc. J'y passais une petite heure avec un type. C'était assez brutal et cochon mais ce genre de pratique m'épanouissait plutôt. En contraste je jus convenir que mon bonhomme me sautait piètrement. J'avais besoin d'autres choses et de folies. Outre l'argent dont je bénéficiais à nouveau je retrouvais adrénaline nécessaire à ma vie. Ce fut à cette époque que je repris contact avec la Caron. Elle tenait ...
... toujours sa sorte de bordel. Du moins avait-elle à sa disposition une liste de clients pour la plupart vieux cochons et qui recevaient chez eux dans Paris. Je tombais bien. Les nouvelles recrues étaient nigaudes et gâchaient le métier. Le plus dur était de ne pas afficher mon nouveau train de vie devant le mari. Il y avait notamment M Armand qui habitait à trois pâtés de maison et sur lequel je vins à tomber sur lui un soir avec au bras le mari. Heureusement il commençait à faire sombre. Quel ne fut mon étonnement de voir mon bonhomme le héler et le tutoyer. Il me présentât comme son épouse. Le type m'examinât sans paraître me reconnaître. Il est vrai qu'outre accoutrée en pute j'étais chez lui fort maquillée et affublée d'une perruque rouge. Ce fut à la fois terrible et délicieux. Je crus plus d'une fois qu'il allait par maints détails me démasquer. L'un l'autre furent mes dupes ce soir-là. Je ne vous cacherais pas que j'hésitais à retourner chez lui une nouvelle fois mais la curiosité voire le vice l'emportèrent. Je me gardais de lui adresser un regard trop prégnant qui put révéler et mon trouble et mon identité. Je le suçais avec plus d’âpreté ce jour-là. Il m'enculât alors dans le salon avec la dernière énergie. J'avais envie de lui crier ; « Connard sais-tu que tu encules la femme de ton pote ? » Je ne pus réprimer un violent orgasme dont lui-même fut étonné et flatté. Je ne pus m’empêcher d'en faire confidence à la Caron qui éclatât franchement de rire. C'était si ...