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U n pote de régiment
Datte: 24/02/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... avec la loi. L'avocat du libanais devait s'assurer que mon casier judiciaire demeurât vierge. Je cédais au mauvais goût de dire : « J'aurais au moins sauvé cela. » Bref j'avais eu une sacrée frousse. Je renonçais pour le coup à mes sorties nocturnes. De toute façon outre les flics j'encourrais des fois de tomber sur des barjots. J’avais toujours décliné le renfort musclé d'un souteneur. Je réfutais face à mon libanais que ce que je faisais ce soir-là. Bref le trottoir. Il y avait eu simple méprise. Nous discutions sortant de boîte. D'où notre tenue par trop évaporée. Il avala à moitié mon conte. Je dus être gentille avec lui. Je lui concédais quelques nuits en son lit et bel appartement. J'y prenais goût. Non pas à sa queue mais à tout ce confort. Je me sentais vieille. Je n'avais plus cœur à me geler les miches dehors. J'allais traîner encore des fois au bar à putes ce qui le révoltait. Je me gardais surtout de lui dire mes services à une certaine demoiselle Caron. Celle-ci notoire maquerelle sur la place de Paris nous dégotait à des filles comme moi de grosse huiles de passage en la capitale. Avec elle j'étais assurée de bons et beaux billets. Puis c'était une vieille amie. En fait j'eus droit à une sorte de chantage. L'avocat m'expliqua que je devais prendre le large à tout prix durant un mois et quitter la France voire l'Europe. Ce n'est qu'à cette condition que ma mésaventure pourrait être effacée des fichiers. Je ne sais comment j'ai pu croire à un tel ...
... bobard. A l’époque il faut dire j'étais fébrile et en panique. Bref je me raccrochais désespérée à la planche pourrie que me présentait mon amant. Il ne me proposait pas moins que de le suivre durant un mois au Maroc où lui était proposé une mission. Je lui dis oui pour m'enfuir dans ses bagages. Ce fut une bénédiction. Je tombais sous le charme. Nous nous mariâmes là-bas. J'y tombais enceinte peu après. Tout allât si vite. Revenue sur Paris je m'avisais bien trop tard qu'on m'avait floué, roulé dans la farine. Tout à la joie et découverte de la maternité je crus pouvoir dire non et tourner la page quant à mon ancienne vie. Puis il y eût l'épisode de l'oncle. Un sacré cochon qui mieux qu'aucun autre décelât chez moi que je n’avais tout à fait renoncé à mes vices. Il jouât sur du velours. Je résistais tant bien que mal à ses avances. Ma forteresse était pourvue de faibles remparts. Un matin mon mari s'avisât que son oncle devait d'urgence récupérer une serviette et la lui amener deux heures après à l’aéroport où il embarquait pour la Turquie. Je dégotais d'avance ladite serviette et escomptait bien la fourrer dans les bras dudit oncle et expédier celui-ci loin de moi. Je n'avais pas compté sur la promptitude du gus et sur ma mise infortunée d'alors : peignoir et rien dessous. En un instant il me gifla et me bascula sur le canapé. Abasourdi je dus me résigner à écarter les cuisses et à subir la besogne du bougre. Mes sens se rallumèrent. Je fus trahi d'un orgasme dont jouit le ...