1. Le temple de Priape


    Datte: 28/03/2019, Catégories: Anal Partouze / Groupe Auteur: Freluche, Source: xHamster

    ... monter en moi et le plaisir me balaie, comme un tsunami. Je m’entends crier sans retenue alors que faune sort de moi et couvre mon ventre d’une belle quantité de semence gluante.
    
    Le second faune éjacule, au même moment, sur mon visage et mes cheveux en poussant un grognement ridicule.
    
    J’ai tout juste le temps de souffler et de reprendre mes esprits que, déjà, les deux faunes me retournent comme une crêpe.
    
    Celui qui m’a baisée vient saisir ma chevelure pour m’obliger à le sucer. L’autre est derrière et me pénètre sauvagement.
    
    - Ah ! Tu lui a bien élargi le con, frangin ! Beau travail ! fait le faune en riant.
    
    - Ouais… Elle suce bien, la salope ! Elle a été éduquée dans un bordel ou quoi ?
    
    J’ai laissé l’énorme verge pénétrer ma bouche jusqu’à la gorge. Je râle et déglutis, mais continue à sucer avec frénésie.
    
    Je ne suis plus maîtresse de moi, j’ai perdu tout contrôle. Derrière, le faune me baise sans retenue. Je sens les deux grosses testicules buter sur mon sexe, à chaque mouvement.
    
    Et chaque mouvement m’ arrache des gémissements et des râles.
    
    Bientôt, un orgasme, encore plus gigantesque, me saisit et je m’immobilise dans un cri.
    
    Avant que je n'ai eu le temps de réagir, le faune sort de ma chatte et m’encule. Je pousse un énorme cri, tant la douleur est vive. J’entends les rires des monstres.
    
    - Oh merde ! Qu’est-ce qu’elle est ...
    ... bonne ! Etroite comme j’aime !
    
    - Redresse là un peu, on va la baiser à deux !
    
    Le faune me saisis et m’oblige à me mettre à quatre pattes. L’autre monstre se glisse sous moi et me pénètre d’un coup.
    
    Je râle de plus en plus fort. Je ne suis plus qu’un jouet pantelant que les deux faunes se disputent. Les énormes sexes me fouaillent en alternance et je me sens dilatée par les queues monstrueuses comme jamais auparavant.
    
    - Alors ? Tu ne les veux pas, nos queues, ma gazelle ? murmure le faune à son oreille.
    
    - Oui, je les veux !!! Baisez-moi plus fort, sales bâtards !
    
    Est-ce bien moi qui ai crié ça ? J’entends le rire gras des faunes, qui accélèrent la cadence.
    
    De nouveau, le plaisir m’envahit. Je crie sans retenue tandis que l’orgasme monte. Au sommet de la vague, je jouis en hurlant, tandis que les deux faunes éjaculent ensemble dans mes entrailles.
    
    Je sens, comme dans un rêve, les deux monstres se retirer. L’un d’eux essuie en riant sa bite sur mes seins.
    
    Je sombre alors dans un sommeil profond, encore engourdie du plaisir que j’ai pris.
    
    Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais quand je m’éveille à nouveau, je suis revenue dans le temple de Priape, sous un soleil couchant.
    
    Il n’y a nulle trace sur elle de ce qui vient de se passer, sauf que je suis nue. Ai-je rêvé ?
    
    Je me rhabille prestement et je redescends vers le village. 
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