1. Le temple de Priape


    Datte: 28/03/2019, Catégories: Anal Partouze / Groupe Auteur: Freluche, Source: xHamster

    J’ai passé du temps en Grèce, étant plus jeune. J’adorais visiter les vestiges de ce qui fut la première grande civilisation européenne. Voici ce qui m’est arrivé un jour que je visitais un temple antique.
    
    Le temple de Priape se trouve au sommet d’une colline désertique et pierreuse que j’ai dû escalader sous un soleil de plomb.
    
    Il n’y a personne, ce jour là, juste moi et quelques mouettes qui criaient dans le ciel.
    
    Au centre du temple se trouve une énorme pierre horizontale. Elle n’est pas dans la même matière que le reste du temple, mais dans une matière lisse et vaguement translucide, comme de l’albâtre.
    
    Je suis crevée et j’ai chaud. La pierre est à l’ombre du mur du temple et, lorsque je la touche, elle est assez fraîche. Ni une, ni deux, je me déshabille et je m’allonge, en bikini, sur l’étrange pierre. Je remarque que la pierre est confortable, avant de sombrer dans une douce torpeur.
    
    Lorsque je m’éveille, Je me sens extraordinairement reposée. Je m’étire voluptueusement sur sa couche de marbre et ouvre les yeux.
    
    Stupéfaction ! Je ne suis plus dans le temple mais en pleine nature, dans un jardin magnifique.
    
    Au dessus de moi, les branches d’un chêne géant sont envahies par la glycine et le chèvrefeuille. Des rosiers ploient sous le poids des fleurs odorantes et, juste à côté, un autre sert de tuteur à des lianes de jasmin parfumé.
    
    Je me redresse, stupéfaite, tandis qu’un couple de mésanges se pose sur un lilas aux magnifiques fleurs mauves.
    
    - ...
    ... Mais où suis-je donc ? dis-je à voix basse
    
    - Pfff ! Encore une cruche qui s’est perdue ! répond une voix de crécelle juste derrière moi.
    
    - Une jolie cruche, en tout cas ! Je bande rien que de la voir ! répond, comme en écho une autre voix de crécelle.
    
    Je me retourne d’un bond en poussant un cri. De part et d’autre de la pierre où je suis juchée se tiennent les plus incroyables créatures que je n’ai jamais vues !
    
    Ce sont deux nains. Leurs visage, mangés par la barbe, est grotesque, avec un menton en galoche et un nez ressemblant à un champignon rougeâtre. Ils ont des oreilles pointues, comme des animaux.
    
    Ils sont torse nus et le bas de leur anatomie est celle d’un bouc, juste vêtus d’un pagne. Ce vêtement ne laisse toutefois rien ignorer de ce qu’il cache. Chacun des nabots est en proie à une érection monstrueuse. Leurs bites sont aussi longues et épaisses que celle d’un âne.
    
    - Qui êtes-vous ? dis-je
    
    - Comment qui sommes-nous ? Quelle insolence ! glapit l’un des deux personnages.
    
    - Tu es donc ignorante, jeune fille ? Nous sommes des faunes ! répond l’autre.
    
    Je n’en crois pas mes yeux et je me pince le bras pour être sûre de ne pas rêver.
    
    Mais non ! Je ne rêve pas !
    
    - Bon, c’est pas tout ça ! dit l’un des faunes. On la baise, frangin ?
    
    - Et comment ! Tu as vu ce joli cul !
    
    Je proteste
    
    - Non, mais ça va, oui ??? Il n’en est pas question ! Pour qui me prenez-vous ?
    
    - Oui, oh… ça va bien, eh ! On a l’habitude… Au début, c’est toujours ...
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