1. Mon amie du lycée...


    Datte: 27/03/2019, Catégories: Première fois Auteur: MBlueberry, Source: xHamster

    ... jupe, sur sa culotte. Je la sentais déjà se laisser aller, elle mouillait. Je crois que si nous n’avions pas été, l’un et l’autre, si timides habituellement, nous aurions fait l’amour directement dans les toilettes de l’établissement. Arrivant tout de même à me maîtriser, je trouvai la force de payer l’addition, et proposai à ma compagne d’un jour de la mener chez moi. Elle refusa.
    
    - « S’il te plaît, viens chez moi, mes parents ne sont pas là et j’ai de quoi m’amuser dans ma chambre… » me dit-elle.
    
    Je me souvins alors qu’au-dessus de son lit trônait un cadeau d’un goût excellent, offert par l’un de ses amis gays : un gode tour Eiffel. Il faisait au moins quarante centimètres, et je faillis m’effondrer rien qu’à l’idée de voir ses petites lèvres glisser dessus pour mon plaisir. J’acquiesçai donc immédiatement, trouvant l’idée excellente, et particulièrement bandante : plus tôt, j’avais rêvé la prendre dans sa chambre, à même la moquette.
    
    Le trajet jusqu’à la gare X, d’où partait le train en direction de chez elle, fut particulièrement éprouvant. La ligne 1X, en temps normal, était déjà infernale. Mais cet après-midi-là, la ligne bondée et les premières chaleurs rendaient insoutenable la promiscuité qui y régnait. Heureusement, C. et moi étions collés l’un contre l’autre, de sorte que le voyage me fût un peu plus supportable. Je sentais la chaleur de son corps, et surtout ses petits seins, dont les mamelons étaient durs, contre ma poitrine. Nous nous sommes encore ...
    ... embrassés, sur le trajet, très longuement. A son contact, je bandais vigoureusement, elle devait sentir mon pénis bien dur au niveau de son ventre ; elle me dévorait du regard, et j’en faisais de même.
    
    Gare Saint-Lazare, on attrapa de justesse le train en direction de son village, fort heureusement d’ailleurs, car nous n’aurions pas supporté d’attendre trente minutes de plus : vous l’aurez compris, à ce moment précis, nous ne voulions chacun qu’une chose au monde : elle, jouir comme elle n’avait jamais joui, et moi, la pénétrer le plus tôt possible. Par chance, notre rame était vide, un tel événement relevant du miracle lorsque l’on prend autre chose qu’un ter Le Creusot – Limoges. Plus personne pour nous voir, c’était le moment pour laisser libre cours à notre passion. Chose intéressante, je crois qu’à partir de là, nous ne nous sommes plus rien dit, en tout cas plus rien qui ne releva pas du registre de l’ébat sexuel. En l’absence de spectateur, nul ne s’étonnera que le désir soit monté très vite entre nous. Pendant cinq bonnes minutes, nous nous sommes à nouveau embrassés, cette fois beaucoup plus langoureusement. Nous avons ensuite lentement sombré dans l’ivresse de l’amour, et ce fût elle qui ouvrit les hostilités lorsque, assise à côté de moi sur la banquette du train, elle déboutonna ma braguette. Elle prit mon pénis en érection et commença à me branler, poussant des petits gémissement de plaisir alors que je cherchais à passer ma main entre ses fesses. Elle me prit ...