Mon amie du lycée...
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: MBlueberry, Source: xHamster
... tout ma petite amie. C’était beaucoup trop fort pour moi, je passais mes journées à regarder ses photos ; elle me faisait bander. Je sentais de plus en plus à travers les messages que nous échangions que C. avait besoin de quelqu’un, quelqu’un qui lui fasse du bien, c’en était presque à se demander si cette gamine n’était pas devenue nympho. Elle ne l’avouait pas, mais elle avait besoin de sexe, et savait me le montrer lorsque nous discutions, tout en sous-entendus.
Mais venons-en directement à la partie la plus intéressante de ce récit, qui intervint après quelques semaines d’échanges dématérialisés. J’avais désormais bien l’intention d’accomplir mes fantasmes de lycéen, je voulais la goûter, et puis, rien qu’une fois, après tout, ça n’engage à rien. Il s’agissait simplement de pimenter ma vie de couple devenue quelque peu routinière… Au détour de nos discussions devenues de plus en plus chaudes et lourdes de sous-entendus, bien qu’aucun échange de photos dénudées n’ait eu lieu, je finis par lui donner rendez-vous, déterminé, sinon à la baiser tout de suite, au moins à prendre sa température…
Nous nous revîmes donc l’après-midi du 14 avril 20XX, dans un célèbre café littéraire parisien de Saint-Germain des Prés. Nous étions en terrasse, le temps était beau, le gratin germanopratin était là, et elle-aussi, plus belle que jamais. La lumière baignait sa belle chevelure blonde, illuminait son visage d’ange et surtout sa jolie bouche, dont je devais connaître l’étendue ...
... des capacités plus tard dans la journée… Elle portait aussi une mini-jupe, sans collants, et l’un de ses fameux chemisiers, à travers lequel j’imaginais déjà sa petite poitrine. Dès les premières secondes, j’ai su que nous allions coucher ensemble, ce jour-là, peu importe l’endroit. Dans les toilettes du café, de mon école, un train, à même le trottoir, n’importe où. Elle aussi, en avait envie. Elle commença par me parler de ses études, de sa préparation littéraire et des gens odieux qu’elle y fréquentait. Très vite cependant, la conversation n’était plus qu’un prétexte pour nous rapprocher toujours plus. De façon complètement spontanée, presque honteuse (c’était en tout cas le sentiment que j’éprouvait à ce moment, la honte complète, absolue, de tromper celle que j’aimais), nous nous sommes embrassés. Penauds, à cette table, au pied d’une église, nous sommes restés longtemps silencieux, à nous dévorer du regard. C’était, avec un peu de recul, complètement incompréhensible : nous n’étions que bons amis au lycée, et voilà que, après des mois sans s’être vus, nous nous étions embrassés, et allions, c’était dès lors une certitude, se donner l’un à l’autre sauvagement.
Tout est ensuite allé très vite, nous avions de toute façon perdu le contrôle de nous-mêmes. Assis à cette terrasse, entourés de gens parmi les plus en vue de la capitale, nous avions commencé, sans un mot, à nous toucher. Elle avait délicatement posé sa main sur mon entrejambe, j’avais la mienne sous sa courte ...