Police polissonne (41)
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... voulait ajuster une pièce fragile. Il ne la baise pas, il lui fait l’amour avec respect et délicatesse, il entre et ressort doucement ; il observe les réactions de Sonia. Il ajuste le rythme, la position de son membre dans l’antre lubrifié ; il touche le point G, s’en va et revient dessus.
Sonia se cambre, elle respire fort, son rythme cardiaque s’accélère ; il sent qu’elle va arriver dans peu de temps ; c’est un expert. Il accélère et lui donne le coup de grâce en éjaculant de fortes giclées en elle. Pour elle, c’est une tornade de plaisir qui l’envahit en la laissant inerte un instant ; elle se plonge dans un nuage de coton. Les doigts de l’homme ne peuvent s’empêcher de caresser ce corps si beau, si doux qui lui rappelle bien des moments.
— Eh bien, Sonia, tu es d’une vivacité impressionnante ; je ne m’attendais pas à autant de fougue.
— Vous n’avez pas aimé ?
— Oh que si ! Tu viens de réveiller en moi une ardeur que je croyais disparue. Je t’en remercie, et je dois dire que depuis hier soir, je me languissais de vivre ce moment. Prenons l’apéritif, une coupe de champagne me semble tout à propos.
— Vous avez raison, je reste nue ?
— Non, car je n’ai pas eu le temps d’apprécier la magnifique robe que tu portais.
Elle remet sa robe, joue les mannequins en offrant à l’homme un magnifique défilé en prenant des poses suggestives et érotiques ; l’homme dont l’ardeur était descendue remonte, il bande de nouveau. Il n’a d’yeux que pour le décolleté et ...
... l’échancrure de la robe, Sonia s’en amuse. Ils trinquent, discutent, elle lui pose des milliers de questions ; ils passent à table.
Pour le repas, il a prévu des cailles entièrement désossées et farcies avec une préparation de son invention ; le met est excellant. Sonia se régale et la conversation va bon train. Petit à petit, chacun se confie et l’ambiance est cordiale ; Sonia se sent bien, si bien qu’elle pose une question indiscrète.
— Dites-moi, bon je sais que cela ne se fait pas, mais pardonnez ma curiosité ; quel âge avez-vous ?
— Pourquoi cette question, si c’est pour savoir où en est ton tableau de chasse, je ne répondrais pas.
— Non pas du tout..., j’ai été maladroite et je vous prie de m’excuser.
— Alors, si c’est pour savoir si le papy tient encore le coup, je te dirai que j’ai soixante-quatre ans ; ça te va ?
— Et tant qu’à m’enfoncer encore plus ; vous avez eu beaucoup d’aventures ?
— Oh, tu sais mon petit ; je pense avoir été le plus grand baiseur que la terre n’ait jamais porté. Et toi petite indiscrète, je suis certain que tu n’es pas encore sortie de l’adolescence.
— Si Monsieur, j’ai vingt et un ans, rétorque-t-elle un peu vexée.
— C’est bien ce que je disais, sache que selon de très sérieuses études ; que l’adolescence peut aller jusqu’à vingt-cinq ans.
— Vous n’avez jamais pensé à écrire et à partager vos aventures avec d’autres ?
— Si bien sûr, j’écris sur un site, oh..., ce n’est pas bien glorifiant, mais ça amuse les ...