1. Police polissonne (41)


    Datte: 27/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    Après une bonne et douce nuit, Sonia se réveille. Chloé est déjà partie travailler en laissant sur la table de la cuisine une poche en papier avec des pains au chocolat « Comme ils disent dans le Nord ! » Juste à côté, un petit mot où elle lui souhaite de passer une belle journée, et de bien travailler. Elle déjeune nue avec son petit câlin matinal, puis elle se douche. En se regardant dans la glace, elle a la bonne surprise de découvrir que les traces de sa folle soirée de Noël ont totalement disparu. Elle décide de travailler son code pendant toute la matinée, puis d’aller comme prévu chez l’homme d’en face un peu avant midi.
    
    Onze heures trente, elle enfile sa robe argentée, se regarde dans la glace de la salle de bains, et constate avec satisfaction qu’elle est vraiment canon. Elle est certaine qu’elle va arriver à ses fins avec le vieil homme. Onze heures quarante-cinq, elle dévale les escaliers ; onze heures quarante-huit, elle sonne chez l’homme. Lui, l’attend depuis ce matin. Il a pris le temps de se préparer. Comme à son habitude, il s’est soigneusement épilé sous les aisselles ainsi que le sexe et les bourses, puis tondu le torse ; il aime ses poils blancs, mais courts. Pour finir, il s’est douché, rasé de près avec son éternel rasoir Gilette 4 lames, frictionné avec un baume après-rasage et enfin parfumé avec son Pure Xs Night à l’odeur discrète. Il a attendu toute la matinée, fébrile et excité à la fois ; depuis tout ce temps où il est seul. Tout à coup, il se ...
    ... sent revivre, il est nu derrière sa porte, son cœur bat la chamade ; il ouvre.
    
    Sonia est là, radieuse dans sa robe fendue jusqu’à la taille et les seins libres sous le large décolleté. Devant la beauté de son hôte, il arrive à peine à déglutir sa salive, son sexe se dresse. Sonia entre ; il referme la porte derrière elle.
    
    Elle lui saute au cou, l’embrasse à pleine bouche ; sa salive a un goût de menthe. Elle se plaque contre lui et sent sa verge rouler contre son pubis. Lui, respire la douce odeur d’un parfum si délicat, il tient entre ses bras ce corps qu’il trouve si beau, si ferme. Il respire fort, elle aussi.
    
    — Faites-moi l’amour, lui annonce-t-elle.
    
    — Mais tu pourrais être ma petite fille...
    
    — Justement, il paraît que les hommes mûrs font l’amour mieux que personne.
    
    — Oh, tu sais, je n’ai plus vingt ans.
    
    — M’en fous, lui dit-elle en le poussant sur le canapé.
    
    Dans la hâte, elle ôte sa robe ; il se lève et l’entraîne dans sa chambre. Pour cet homme, c’est comme un renouveau, il sent sa jeunesse resurgir ; et sa fougue d’antan est bien là. De la belle, il en fait sa poupée, il la caresse avec délicatesse, explore chaque partie de son corps avec soin. Il le fait comme avant, au temps où ils étaient deux ; où l’Amour était là. Elle ferme les yeux et se laisse aller, emportée, envoûtée par cet homme qui joue avec ses anneaux tout neufs, avec son clito décoré et sensible. Quand il la pénètre, c’est encore dans la douceur et la lenteur ; c’est comme s’il ...
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