Joli modèle
Datte: 26/03/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
photofilm,
Auteur: Nicosens, Source: Revebebe
... moindre de ses gestes était sensuel.
— Tu es belle Marie. C’est un plaisir de te photographier.
— Merci.
— Je peux te demander de retirer le haut ?
— Oui.
Quelques secondes après, elle était seins nus, en bas, en petite culotte, dans une posture suggestive. Je crus voir son regard descendre vers mon entrejambes, où mon érection était manifeste. Si rien ne se passait, je me masturberai dans les dix minutes suivant son départ.
Mais il se passa quelque chose.
Mon reflex fit un drôle de bruit, une sorte de gargouillement électronique suivit d’un bip-bip de mauvais augure puis il s’éteignit, hors service.
En d’autres circonstances, j’aurais pesté contre mon appareil, j’aurais maudit le fabricant, j’aurais poussé un juron mais là, les choses étaient bien différentes. Il y avait Marie devant moi, sur mon lit, à demi-nue.
Tout se passa en une fraction de seconde dans ma tête. La tension artistique et photographique qui s’était accumulée en moi pour cette séance se transforma en tension sexuelle, en désir.
Avant le bug de mon appareil, malgré la beauté de la jeune femme à genoux sur mon lit, j’étais tout entier acquis à la photo. Je voulais qu’elle soit belle mais pour faire de belles images. Je bandais, certes, mais je voulais créer. Après le bug, je ne voulais plus qu’une chose, posséder Marie.
Nos regards se croisèrent.
Elle semblait demander :et maintenant ?Et maintenant, vous restez dans cette position et nous poursuivons notre séance photo par ...
... d’autres moyens, avais-je envie de lui dire mais aucun mot ne franchit ma bouche.
Il y avait comme un enchantement silencieux dans ma chambre, une parenthèse ouverte par les cliquetis de mon appareil. Quelques secondes de flottement où tout me semblait possible. Parler aurait rompu la magie de l’instant.
Sans un mot donc, je mis mon appareil au sol, sur la moquette puis ma main gauche décrivit une courbe qui se termina sur le triangle noir de la petite culotte de Marie, sans toucher sa peau, sans s’appesantir sur la dentelle. Juste effleurer son intimité à travers l’étoffe de ce joli petit slip.
Je pouvais me heurter à un refus plus ou moins poli. J’avais cru comprendre que Marie avait un petit copain. Tout était possible. C’était d’ailleurs cela qui contribuait à mon excitation. Rien n’était acquis. Je n’avais aucune certitude. Mon cœur palpitait alors que ma main s’approchait.
Et mon cœur explosa quand je sentis qu’une certaine moiteur avait déjà envahi la petite culotte de ce délicieux modèle. Alors que mes doigts jouaient doucement sur sa dentelle, ma main libre se posa sur son dos, sur son échine, pour la remonter, pour la caresser. Sa peau était douce et chaude.
Je regardai son visage : elle avait les yeux clos et se mordait presque la lèvre inférieure. Je nageais en plein rêve.
Je mis ensuite un genou sur le lit pour amener Marie contre moi, pour sentir son corps un peu plus. Je le calai contre ma cuisse et ma hanche, la main gauche jouant toujours sur sa ...