Joli modèle
Datte: 26/03/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
photofilm,
Auteur: Nicosens, Source: Revebebe
... amusée.
— Je dois connaître plus de marque de dessous que la plupart des filles.
— C’est agréable, un mec qui s’y connaît en lingerie.
— C’est la moindre de choses pour un garçon qui aime la photographier sur vous, mesdemoiselles.
Une fois sa tenue choisie – bas, petite culotte échancrée en dentelle noire, pas de soutien-gorge mais un haut marron, léger, ample et qui s’arrêtait au milieu des fesses – elle fila se changer dans la salle de bain. Pendant ce temps, je préparai le spot pour la photographier : un drap beige sur l’estrade où reposait mon matelas pour jouer avec le marron de la moquette l’entourant. Avec un autre drap plus sombre, le mat de sa peau, son haut dans les mêmes tons et le noir de sa lingerie, les jeux de nuances seraient magnifiques.
Marie ouvrit la porte de la salle de bain et me rejoignit dans ma chambre.
Là, séduit, charmé, troublé, je pris ses deux mains dans les miennes pour lever ses bras et la faire doucement tourner sur elle-même.
— Comme tu es belle…
Elle aurait pu s’offusquer de ce geste qui était plus celui d’un amant, d’un amoureux, d’un compagnon mais elle se contenta de me sourire, encore et encore, flattée d’être ainsi admirée, détaillée, contemplée.
— Ah, j’ai une petite critique à faire tout de même.
— Quoi ? fit-elle en fronçant très légèrement les sourcils.
— Ta culotte. Pourrais-tu la remonter un peu plus, qu’elle souligne le galbe de tes fesses ?
— D’accord.
Elle posa ses mains sur ses fesses pour lisser ...
... et replacer au mieux ce joli petit slip mais le résultat n’était pas satisfaisant à mon goût.
— Ah, c’est exigeant un photographe, hein ?
— Oui mais bon, c’est normal.
— Oui, c’est normal. Nous savons exactement ce que nous voulons. Me permets-tu de replacer ta culotte ?
— Oui.
Je prenais sûrement mes rêves pour la réalité mais sa voix, en disant ce simple mot, évoquait l’abandon le plus parfait, le plus érotique.
Je mis donc en place sa petite culotte en lissant bien les élastiques, en la remontant pour la placer le plus symétriquement possible par rapport à la raie de ses fesses. Je pris soin d’effleurer sa peau sans les toucher, sans faire l’impudent ou le malpoli. Au passage, je pus voir que sa peau était d’une douceur remarquable.
« Quel joli petit lot », me dis-je.
Mes pensées dérivaient. Je devais me concentrer sur la photo.
Elle prit place sur mon lit, à genoux, les fesses sur les talons, les cuisses et le bas du dos enfouis dans le drap. Je ne m’étais pas trompé : les jeux de tons, de nuances étaient magnifiques.
— Descend un peu le drap. Cambre-toi bien.
Je pris des photos en lui demandant de soulever négligemment son haut pour dévoiler fesses et culotte. Je poursuivis de haut et de face avec la naissance de ses petits seins sous son haut, avec le triangle noir de sa culotte noire plongeant entre ses cuisses.
— Ouvre un peu plus les jambes, Marie, s’il te plait. Je veux voir un peu mieux les motifs de ta culotte.
Elle s’exécuta. Le ...