1. Et Dieu créa la chienne (3)


    Datte: 25/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Christalship, Source: Xstory

    Chapitre 3 : le point de non-retour
    
    Dans le jardin, une pelouse s’étendait à perte de vue. Des chênes centenaires s’y dressaient majestueusement. Un chemin de gravillons blancs serpentait à travers l’étendue herbeuse, puis longeait le ruisseau bordé de saules.
    
    L’endroit était véritablement bucolique et Annabel s’y sentait détendue. Elle en oublia presque ses émotions d’avant et surtout son appréhension à l’idée de partager un verre avec le couple qui l’avait prise en flagrant délit de voyeurisme.
    
    Après quelques minutes de marche et de palabres, Annabel et Vincent virent un petit banc en pierre, posé juste devant le ruisseau, entouré d’arbres. Face au banc, de l’autre côté de l’eau, le jardin cédait la place à une dense forêt.
    
    Ils s’assirent instinctivement sur le banc pour profiter de l’ombre et du calme que le lieu offrait. Rapidement, Vincent posa une main sur la cuisse d’Annabel. Il passa un bras autour de son cou et s’approcha d’elle pour l’embrasser. Annabel approcha sa bouche de celle de son mari qui l’embrassa fougueusement. Leurs langues se mêlaient langoureusement, et leurs souffles se firent de plus en plus intenses et bruyants. La main de Vincent glissa à l’intérieur de la cuisse de sa femme, lentement. Encore échaudée par sa douche érotique, Annabel écarta légèrement les jambes, confirmant tacitement à son mari l’accès à son intimité. Après quelques effleurements, Vincent baissa la culotte d’Annabel de quelques centimètres. Il commença par masser la ...
    ... base du clitoris de sa femme, en faisant de petits mouvements circulaires et irréguliers, variant la pression qu’il exerçait.
    
    Il n’en fallut pas plus pour mettre Annabel dans tous ses états, qui ouvrit les jambes, comme pour inviter son mari à la pénétrer. Vincent bougea légèrement sa main, pour pouvoir introduire son majeur dans le sexe humide d’Annabel. Sa paume appuyait sur son pubis et continuait des mouvements et pressions, en cherchant le clitoris. Annabel ruisselait, et Vincent n’eut aucune peine à introduire son index pour accompagner son majeur. Les doigts sondaient littéralement la chatte d’Annabel, en faisant des mouvements de va-et-vient.
    
    Les joues en feu, le sexe en fusion, Annabel écarta l’une de ses jambes et la posa sur celle de son mari, offrant de ce fait la vision de son sexe à quiconque se serait trouvé dans la forêt, de l’autre côté du ruisseau. L’idée même qu’on puisse la voir fit frémir Annabel, et lui fit ressentir des décharges dans le bas-ventre. Elle perdait le contrôle.
    
    — doigte-moi le cul Vincent.
    
    Interloqué et surpris par l’invitation de sa femme, Vincent ne chercha pas à la questionner. L’occasion était trop belle. Sa queue était aussi dure que le banc en pierre, et il ne se fit pas prier. Il déplaça sa main, introduisit son pouce dans la chatte de sa femme et commença à titiller, de son index encore humide de cyprine, l’anus d’Annabel. Elle émettait de petits gémissements, et il sentait son cul se dilater, si bien qu’il y introduisit ...
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