1. Cet obscur objet du plaisir


    Datte: 25/03/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, jeunes, couple, extracon, prost, vengeance, conte, Auteur: Larry Starck, Source: Revebebe

    ... précises et les photos des années 1930 que Léopold lui avait envoyées. Lorsqu’il arriva, Léopold ne fut pas déçu, Coralie, vêtue d’une simple guêpière qui soutenait ses seins en laissant ses tétons exposés et hardiment dressés, le fit entrer dans un petit salon exactement identique à celui de la photo. Coralie avait si parfaitement suivi le modèle que deux superbes cocottes quasi nues étaient lascivement allongées sur le canapé. Léopold était aux anges, il se laissa déshabiller par les deux accortes jeunes femmes et laissa libre court à ses fantasmes les plus crus avec ces professionnelles sans limites.
    
    Ce n’est qu’à la fin de sa soirée vénérienne, exténué, que Léopold prit conscience que Coralie n’avait pas participé à la débauche. Mais finalement cette soirée avec deux vraies putains l’avait comblé au-delà de tous ses fantasmes, Léopold se demandait même, en rentrant chez lui, s’il pourrait continuer à entretenir sa relation avec cette Coralie, somme toute assez gauche comparée à de véritables prostituées. Mais la question ne se posait pas. Léopold comprit en effet très vite que ses ébats de la nuit avaient été diffusés en direct sur internet, pour attester de la probité du futur élu, et que toute la ville avait été prévenue et pouvait se repasser en boucle ses exploits sur le blog « l’homme qui aimait les putes ».
    
    Depuis sa première expérience, à chaque fois que Fenimore avait eu un orgasme il s’était toujours dit« ça doit pouvoir être meilleur plus puissant, plus ...
    ... long, plus… », Fenimore imaginait qu’une dimension du plaisir lui demeurait inaccessible. Évidemment, il incrimina des partenaires défaillantes. Après chaque expérience, il cherchait donc une nouvelle compagne plus audacieuse, plus ouverte, une vraie « salope ». C’est ainsi qu’il finit par rencontrer Abigaïl, une petite rouquine délurée, qu’aucune pratique, aucune position, ni les lieux les plus incongrus n’arrêtaient.
    
    Malheureusement, lorsque Fenimore eut pratiqué avec Abigaïl les plus pervers accouplements imaginables, après avoir partagé des sensations toujours plus puissantes, il en était toujours à se dire« je dois pouvoir éprouver quelque chose d’encore plus intense ». Mais il avait acquis la conviction, pour avoir beaucoup cherché qu’il ne trouverait pas plus parfaite salope. Fenimore était si tourmenté qu’il en perdait presque le goût pour les galipettes.
    
    Ce soir-là pourtant, il rentra, bien décidé à aller au-delà de tout ce qu’il avait déjà pratiqué avec Abigaïl. Il était certain de trouver un nouveau truc, il avait d’ailleurs quelques idées particulièrement perverses.
    
    Mais à son arrivée, Abigaïl le devança.
    
    — J’ai pensé à quelque chose pour t’emmener au-delà du septième ciel, mon amour, viens.
    
    Et elle le précipita dans la chambre, le fit asseoir sur un confortable fauteuil et le ligota bien fermement avant qu’il n’ait pu dire quoi que ce soit. Alors qu’Abigaïl s’employait à le débarrasser de son pantalon et de son boxer, Fenimore entrevoyait dans ce ...