Gwendoline, la femme inattendue
Datte: 25/03/2019,
Auteur: Domibec, Source: Revebebe
... gargantuesque ! Tout est contraste dans ce couple : la taille, la couleur de la peau. Quand ils font l’amour, il doit faire ce qu’il veut d’elle, la soulever, la basculer, la retourner… et elle doit aimer cela. Elle aime prendre son gros sexe en main, elle a du mal à en faire le tour. Elle aime quand ce sexe la pénètre, la remplit. Je l’imagine, elle jouissant de nombreuses fois avant qu’il la remplisse de son sperme évidemment très abondant. Une fois, il était debout, l’a soulevée et empalée sur son pieu et il la maintenait sous les fesses ; une autre fois, elle était couchée, lui sur elle et il l’écrasait de son poids ; et puis cette fois elle était à quatre pattes, il la prenait en levrette… chaque fois, elle hurlait son plaisir.
Une petite bande de jeunes de 18-20 ans envahit la fontaine. Quatre filles, deux garçons. Ils rient fort, chahutent gentiment. Apparemment, les filles chambrent les garçons. Ils sont mignons tous les six. En uniformed’jeune ! Tee-shirt et jeans. Les filles sont belles… presque semblables par leur taille, leur finesse, leurs formes mises en valeur par leurs vêtements moulants. Leurs petits seins pointant, leurs fesses rondes, leurs cuisses fines. J’essaie de les imaginer nues, seules sur leur lit, se caressant, jambes ouvertes… et je ne les vois pas avec un autre homme. Je me plais à les imaginer avec moi, je les tiens dans mes bras, une main sur les fesses, l’autre sur un sein. Avec elle ? Non, plutôt elle, ou bien les deux. Et pourquoi pas les ...
... quatre ? Le rêve inaccessible, bien sûr…
Les garçons ne me laissent pas indifférents non plus. Surtout l’un d’eux, petit minet, bel éphèbe. Plait-il aux filles ? Sans doute, mais je suis sûr qu’il fait bander bien des garçons et bien des hommes… dont moi. J’aimerais le serrer contre moi, l’embrasser à pleine bouche, glisser ma main sous son tee-shirt, caresser son torse que j’imagine glabre. Et descendre ma main, ouvrir son jean, plonger ma main dans son caleçon pour me saisir de son sexe que je sentirais gonfler sous ma caresse…
Je suis maintenant avec ces six jeunes. J’ai été les saluer, nous avons sympathisé et l’un d’eux nous a tous invités chez lui. Nous sommes nus tous les sept, nous échangeons des caresses…
— Excusez-moi, Monsieur. Je peux m’asseoir à votre table ? Il n’y a pas d’autre place libre…
C’est une femme qui m’adresse la parole et me sort de ma rêverie. Une belle femme, la trentaine.
— Mais bien sûr ! Excusez-moi… Asseyez-vous !
Pendant qu’elle s’installe, je la regarde discrètement. Une très belle femme, en vérité. Un mignon petit minois. Des cheveux noirs mi-longs. Elle est vêtue d’une robe bleue, serrée et décolletée. Lorsqu’elle se penche en avant, elle offre une vue plongeante sur ses deux seins qui semblent absolument libres, sans le carquois d’un soutien-gorge. Le bas de sa robe lui arrive à mi-cuisses. Elle a deux belles longues et fines jambes. Voilà le genre de femmes que j’aime. Et toute mon attention, toutes mes envies, tous mes ...