1. L'estimation


    Datte: 25/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... je tente quelque chose pour la séduire, quitte à me prendre le rateau du siècle. Elle demande à voir la cave, et nous descendons d’un étage.
    
    « Il fait frais ici » commente t’elle.
    
    Les pointes durcies de ses tétons nettement visibles confirment l’affirmation. Nous montons, à présent au premier étage. Elle s’extasie devant la salle de bains, apprécie les chambres des enfants et leur déco personnalisée. Arrivée à la chambre parentale, les dimensions ont son attention.
    
    « Le lit n’est pas standard, c’est un 160 ? »
    
    « deux mêtres » dis-je tandis qu’elle s’asseoit sur la couche et en tate le moelleux.
    
    Je me retiens de ne pas la culbuter, là, tout de suite. Elle est déjà debout et passe devant pour accéder au second étage. Je la suis, sans pouvoir détacher mes yeux de sa croupe qui ondule à quelques centimêtres de moi, et de cette jupe qui dévoile, en contre-plongée, ses cuisses pleines, presque jusqu’en haut.
    
    La salle de cinéma, le billard, et les instruments de musique. Elle détaille le tout, et fait remarquer le côté masculin de cette pièce, garnie, ça et là de bibliothèques. Un coin, salle de sport, et juste attenante, une autre salle de douche
    
    « c’est à l’usage de celles qui sont invitées ? » demande t’elle
    
    « C’est à l’usage des sportifs en tout genre » dis-je en évitant de me compromettre.
    
    Je redescends en premier, et elle me suit ensuite pour un tour des dépendances, en passant par le garage.
    
    Nous voici de retour dans le séjour. Je lui propose ...
    ... un café, qu’elle accepte. Quand je reviens avec un petit plateau, portant les expressis, elle est assise dans un des canapés. Je lui donne son café et m’installe dans un fauteuil face à elle. Elle me complimente sur la tenue de la maison, et nous échangeons sur le marché de l’immobilier. Sa jupe est remontée en s’asseyant et j’ai une vue imprenable sur son entrejambe et sa culotte noire. Alors que nous parlons, je me dis qu’il est impossible qu’elle n’ait pas remarqué mes yeux posés sur ses cuisses.
    
    elle se saisit de son ordinateur portable qu’elle ouvre sur ses genoux, me cachant ainsi ses trésors. Elle pianote quelques instants avant de me donner son estimation provisoire de mon bien. J’ergote un peu, pour la forme. Elle finit par replier son ordi, et le range à ses pieds. Dans le mouvement pour se rasseoir, sa jupe est encore remontée d’un cran, et la totalité de ses cuisses est maintenant au jour, et seule sa culotte me masque encore son intimité.
    
    Pris d’une inspiration, je me penche et pose ma main sur sa cuisse. Les yeux azur, se posent sur moi et elle proteste
    
    « Eh, où allez vous comme çà ? »
    
    « Je suis désolé, mais depuis que vous êtes entrée, j’ai envie de vous toucher, de vous caresser. Alors, quitte à prendre une gifle, je fais ce que me dicte mon instinct. J’aime le grain de votre peau, son toucher. » mes doigts caressent sa cuisse, et remontent vers l’aine.
    
    « Mais, monsieur, je suis mariée ! »
    
    « Et moi aussi hélas, mais vous ne sentez pas ce lien ...
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