1. AU BORD DU LAC (épilogue)


    Datte: 24/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... jambes,écartéees faisant remonter la jupe, jusquà atteindre son pubis. Mon gros orteil chatouillait son ticket de métro. Elle souleva le bassin et l’avança jusqu’au bord du siège, s’offrant à ma caresse. Mon orteil s’appuya sur son sexe et y entra, provoquant un soupir. Je le fis glisser le long de sa fente stimulant son clitoris
    
    La serveuse s’approchant avec les entrées, Déborah, posa sa serviette de table sur ses cuisses. Les assiettes furent déposées devant nous tandis que je reposais mon pied. La serveuse me fit goûter le vin, et nous souhaita un bon appétit, avec un regard équivoque sur la serviette de Déborah.
    
    « Tu crois qu’elle a compris ? » demandai-je alors que nous attaquions un carpaccio de saumon et ST Jacques.
    
    « Ce qui est sûr, c’est qu’elle se doute qu’il se passe quelque chose. Dommage que tu aies arrêté. »
    
    L’entrée terminée, on nous apporta un Filet au poivre, plutôt relevé et ses tomates provençales. Un véritable régal. Déborah avait repoussé son assiette, repue, et me regardant fixement
    
    « Je n’ai plus faim, mais j’ai envie » murmura t’elle, en glissant sa main sous la serviette à la recherche de son plaisir. »
    
    Quand la serveuse enleva les plats, son regard fut attiré par cette main qui s’agitait. Déborah la fixa sans cesser son mouvement, et la jeune femme s’en fut, le rose au joues.
    
    Après le café, Debbie, me prit par la main, et, au lieu de m’entrainer vers la sortie, m’entraina vers un escalier.
    
    « Ils font Hôtel ici. Je vais te ...
    ... montrer. »
    
    Deux étages plus haut, elle nous ouvrit l’accès à une vaste chambre, moderne, très confortable, dont la porte-fenêtre donnait sur un balcon. Elle ouvrit et sortit. Elle s’assit sur un transat en teck, et me fit signe d’approcher. Ayant déjà compris son invite, je me campai devant elle et la laissai baisser mon pantalon et mon slip pour avaler mon gland turgescent.
    
    Elle se contenta de m’exciter un moment, pusi se leva et vint s’appuyer à la balustrade de bois. Se penchant en avant, elle dégraffa sa jupe qui atterrit sur une chaise.. Je fléchis mes jambes pour m’introduire dans son sexe bien préparé, qui n’attendait que ça. Je balançai mon bassin derrière elle, venant tamponner son cul à chaque avancée, songeant à l’érotisme de la situation. Pour les touriste qui prenaient le café sur la terrasse, un peu plus bas, elle n’était qu’une jeune femme acoudée à son balcon, contemplant le paysage, mais un œil plus averti, pouvait s’apercevoir, entre les poteaux de bois, qu’elle n’avait rien d’autre que son chemisier, et qu’entre ses cuisses, elle recevait l’hommage d’un mandrin tendu qui la pilonnait.
    
    Elle se redressa , et se touran vers moi, Elle dénoua son chemisier dont les pans s’écartèrent. Je palpais sa poitrine en la plaquant contre la rambarde, mais elle me repoussa dans le transat, et passant une jambe, de chaque côté vint s’empaler sur moi. Se servant de ses jambes posés au sol, elle montait au dessus de moi, pour mieux se laisser envahir, en retombant sur ma ...