1. AU BORD DU LAC (épilogue)


    Datte: 24/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... le torse, m’égratignant de ses ongles peints.
    
    « J’ai un peu mal à la tête. J’ai dû trop boire hier. »
    
    Je confirmai.
    
    « ça faisait si longtemps. J’ai dit des bétises ? »
    
    Je lui racontai son passage exhib Elle leva les yeux vers moi.
    
    « Aie, je crois que je ne vais pas revenir de sitot dans cette boite. J’ai intérêt de me faire oublier avant. »me glissa t’elle avec un petit sourire désolé. « De toute façon, l’endroit ne me plaisait pas. » ajouta t’elle pour conclure. Elle se redressa.
    
    « Je vais aller prendre une douche » affirma t’elle en ouvrant la fermeture de l’entrée.
    
    Je la rattrapai et lui prêtai un de mes shorts et un débardeur. Ce n’était pas terrible mais plus décent que sa robe de la veille. Je sortis avec elle, pour l’accompagner aux douches. Plusieurs personnes se retournèrent sur cette grande femme en short, moulant ses fesses galbées, le débardeur laissant voir sa poitrine par les échancrures latérales. Elle m’attira dans la douche avec elle. Heureusement l’heure de la toilette était largement passée, pour la plupart des campeurs, et les lieux étaient peu fréquentés. Une fois nus, nous nous frictionâmes mutuellement, et nos jeux érotiques reprirent très vite. Déborah se mit à genoux et me prit dans sa bouche, ses lèvres coulissant sur ma hampe avant de ressortir. Elle lécha mes couilles et remonta sur ma queue, sa langue s’enroulant autour, lappant mon frein avant de venir aspirer mon gland, les joues creusées.. Contente du résultat, elle se ...
    ... leva et fit face au mur, écartant ses jambes, elle pris ses fesses dans ses mains et les écarta.
    
    « Vas y ! Encules moi encore ! »
    
    Je m’approchai et fléchit les jambes, pointant mon sexe sur la cible qu’elle m’offrait. Je me relevai en forçant ses reins. Elle m’accueillit. avec un cri et râla sous mes coups de boutoir jusqu’à ce que je me répande en elle.
    
    Après la douche, j’allai la déposer chez elle, le temps qu’elle se change.
    
    Elle ressortit, vingt minutes plus tard, resplendissante et printanière, dans une mini jupe, évasée et une chemise de soie nouée sur son nombril, des ballerines assorties à son chemisier turquoise aux pieds. Elle m’indiqua le chemin vers un restaurant au bord du lac, où elle, avait réservé une table. Le restaurant semblait assez select, mais en ce lundi, seule la moitié des tables étaient occupées. La serveuse nous accompagna à une table, en bordure d’une grande baie vitrée, donnant sur le lac et ses iles. En contrebas, on apercevait un petit port, aménagé, sans doute pour recevoir les clients.
    
    « On vient parfois déjeuner ici avec le bateau » m’expliqua Déborah. « C’est pratique pour s’amarrer. »
    
    Elle s’assit en étalant sa jupe autour d’elle. La carte arriva très vite, et le plus long fut de faire un choix, tant les mets avaient l’air appétissants .Les coupes de champagne nous servirent d’apéritif, et après avoir trinqué, elle se recula au fond de sa chaise. Je défis une de mes chaussures et tendis ma jambe. Mon pied s’insinua entre ses ...
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