1. LE TÉLÉPHONE


    Datte: 23/02/2018, Catégories: Anal Première fois Humour Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... étonnant, mais je t’assure que c’est la première fois qu’un cunnilingus m’a fait jouir de la sorte. Avec mon mari c’est plus gentil : de temps en temps, il me suce la chatte, juste pour m’exciter. Il n’a jamais dû penser que ça pouvait être un acte à part entière, comme le coït ou la sodomisation. C’est exactement la même chose pour la fellation : il aime bien quand je le suce, mais il ne lui viendrait pas à l’idée que je puisse aimer ça et que j’avale sa semence. Sachant ce qu’il pense, je ne lui ai jamais permis de s’oublier dans ma bouche ; même quand je sens qu’il a une envie folle d’y éjaculer. Tu vois, même dans ce domaine, je suis novice !
    
    - Qu’à cela ne tienne ! » répondis-je, en me mettant debout devant elle et en lui demandant de sortir mon membre de sa cachette.
    
    Elle dégrafa mon pantalon avec adresse. En cinq secondes, je me retrouvai le cul en l’air, le pantalon et le slip sur mes chevilles. Elle admira quelques instant les dimensions impressionnantes de mon sexe, le prit dans une main pour le palper, le tâter et tester sa dureté, et après avoir poussé un petit « Oh ! » admiratif, elle avança sa tête vers mon pubis et entrepris d’introduire le gland dans sa grande bouche goulue. Elle dut l’ouvrir très large pour qu’il pénètre totalement. Je poussai le bassin en avant pour faire pénétrer la hampe. Le tout arriva jusqu’à la luette et pénétra dans la gorge. Elle eut une crispation qui annonçait une envie de vomir. J’arrêtai la poussée afin de la reposer un peu, ...
    ... revins en arrière jusqu’à l’entrée de la bouche et recommençai la poussée vers le fond de la gorge ; j’allai un peu plus loin cette fois ; elle n’eut pas de crispation. J’entrepris donc un mouvement continu de va et vient, doucement d’abord pour habituer et la bouche et la gorge aux dimensions de mon sexe. Je tenais sa tête dans mes mains pour l’empêcher de se retirer et lui demandais de me caresser les couilles pendant qu’elle me suçait. Elle le fit avec doigté et habileté. Au bout d’un moment je sentis que ma queue allait exploser.
    
    - Je vais jouir dans ta bouche ! Tu vas connaître le goût de mon sperme ! Aaaahhh ! Je vais jouir ! Je vais décharger. Bois cochonne ! Bois ! Avale ! Avale ! »
    
    Le sperme sortit par saccades : la première giclée alla directement au fond de sa gorge ; elle faillit étouffer en essayant de tout avaler en une seule fois. Les autres vinrent tapisser le fond de sa bouche et dégouliner le long de sa lèvre inférieur et descendre jusqu’au menton et au cou. Elle luttait vaillamment pour avaler la plus grande quantité possible de foutre. Au bout d’un moment il ne restait que ce qui avait dégouliné de la bouche qu’elle se mit à étaler sur ses seins. Elle me regarda droit dans les yeux avec un regard d’écolière quémandant un bon point.
    
    - Tu suces comme une déesse ! lui dis-je. Ton mari ne sait pas ce qu’il perd en n’osant pas franchir la frontière qui mène à l’érotisme. Il n’a aucune idée du bonheur que cela pourrait lui apporter ; tant pis pour lui. ...