LE TÉLÉPHONE
Datte: 23/02/2018,
Catégories:
Anal
Première fois
Humour
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
23 heures; je commençais à somnoler et je me disais qu’il était temps de me mettre au lit. J’avais décidé pour une fois de me lever tôt pour régler quelques problèmes professionnels urgents. Depuis que Soussou, le grand amour de ma vie, était partie, je n’avais plus le cœur à grand-chose, surtout pas au travail. Les problèmes commençaient donc à s’accumuler et les risques de répercussions négatives sur mes affaires étaient réels.
Je décidais donc de me reprendre en main dès le lendemain. Cette bonne décision prise, je me mis au lit pour attendre un sommeil qui me fuyait depuis maintenant un mois, date maudite du déménagement de ma dulcinée. Vers 23 heures 30, mon portable se mit à sonner. Je sursautai. J’ai toujours eu peur des appels téléphoniques de nuit; généralement, ils sont porteurs de mauvaises nouvelles. Je ne connaissais pas le numéro de la personne qui m’appelait ; d’ailleurs il était masqué.
- Allo ! Oui !
Silence sur la ligne. J’insistais.
- Allo ! Allo !
Toujours rien. Je raccrochai, pensant qu’il s’agissait d’une erreur. Moins d’une minute après, le téléphone se remit à sonner et je m’empressais de répondre. J’entendais distinctement la respiration de mon correspondant. Mais toujours pas un mot.
- Arrêtez, le manège ! criai-je un peu énervé.
Et soudain, une voix féminine, rauque et presque inaudible, se fit entendre.
- Allo, bonsoir ! Tu ne me reconnais certainement pas ; mais moi je te connais très bien. Je connais ton nom et je sais où ...
... tu habites et où tu travailles. Je sais pratiquement tout de toi.
Pris au dépourvu, je ne sus quoi répondre à cette voix dans la nuit. Imperturbable, elle continua toujours aussi doucement :
- Tu es grand, fort, viril et tu me plais beaucoup. Je voudrais devenir ta petite amie de la nuit. Qu’en penses-tu ?
Je ne répondis toujours rien, estomaqué que j’étais. Je réfléchissais à toute vitesse pour comprendre la situation et lui trouver une parade qui me mettrait à mon avantage. J’avais souvent dragué au téléphone des femmes qui me plaisaient, mais je n’y allais jamais aussi franchement, au risque de faire fuir ma proie. Celle-là y allait au culot. Je soupçonnais une blague d’une de mes anciennes conquêtes; mais j’avais beau chercher, cette voix m’était parfaitement inconnue.
- Je te connais ? lui répondis-je enfin, de manière à gagner du temps, la faire parler et essayer de situer la personne.
- On s’est déjà rencontré plusieurs fois, mais tu n’as jamais fait attention à moi. Tu étais toujours trop occupé avec d’autres femmes. Je sais qu’aujourd’hui tu es libre; je suis sûr que tu flasheras sur moi, et peut être même que tu tomberas amoureux de moi, dès que tu me verras. J’ai trente ans et je suis ce que les hommes appellent un bon coup ; je suis super bandante.
- Tu es célibataire lui dis-je ?
- Non, je suis mariée et j’aime mon mari qui est un homme bien et qui me satisfait sur tous les plans, sauf sexuellement. Dans ce domaine, ce n’est vraiment pas le ...