1. LE TÉLÉPHONE


    Datte: 23/02/2018, Catégories: Anal Première fois Humour Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... que chaque fois de je rencontrai ta soeur, à des intervalles de plus en plus éloignés. Voila maintenant tu sais tout.
    
    - Pourquoi m’avoir invité ; cela n’entre pas dans la logique du processus que tu as mis en œuvre. Notre rencontre ne peut avoir qu’une seule signification : passer de la parole à l’acte.
    
    - Maintenant que je t’ai revu oui ! Mais initialement je voulais simplement te remercier de ces nuits torrides que tu m’as faite passer, de me faire connaître et de te demander de partir, comme un vrai gentleman. Mais depuis quelques minutes, j’ai changé d’avis. Je veux vraiment vivre quelques moments d’extase avec toi ; d’autant que cela ne pourra pas durer ; dans quelques semaines nous ne serons plus là : nous venons d’obtenir nos visas d’émigration au Canada ; nous n’attendons plus qu’un contrat de travail avec une compagnie pétrolière canadienne pour partir. Tout est déjà prêt.
    
    Je venais de recevoir un véritable coup de marteau : à peine ai-je trouvé mon âme sœur que déjà elle doit me quitter. Je protestais en disant que leur vie était ici, pas au Canada ; qu’il y faisait un froid de canard ; que beaucoup de ceux qui y sont allés sont revenus déçus ; que la vie y était difficile; etc. Rien n’y fit.
    
    - Viens près de moi ! me dit-elle. Embrasse-moi plutôt et ne nous fait pas perdre un temps qui est devenu précieux !
    
    Je m’approchais d’elle, pris son visage entre mes mains, l’examina longuement comme pour le fixer dans ma mémoire pour l’éternité et l’embrassai ...
    ... tendrement sur les joues, les yeux, le front et sur les lèvres, qu’elle avait gardées entrouvertes pour accueillir ma bouche. Nous échangeâmes un long baiser torride et mouillé. Ma langue alla directement à la recherche de la sienne qui l’attendait de pied ferme. Elles se défièrent mutuellement chacune attaquant l’autre et attendant la riposte. Elles se poursuivaient, allant d’une bouche à l’autre, emmenant avec elles des flots de salive sucrée. Nos bouches restèrent soudées l’une à l’autre pendant une éternité. Seul le manque d’air et la sensation d’étouffement les firent se séparer. Ce baiser mit le feu à tout mon corps. Et au sien, qui se collait à moi de plus en plus. Je sentis sa lourde poitrine s’écraser sur la mienne ; se seins triomphants, que ne protégeait aucun soutien gorge, demandaient, que dis-je ? exigeaient ! qu’on les malaxe, les caresse, les embrasse. Je dégrafai le ruban de soie qui tenait le négligé qu’elle portait et le lui fis enlever. Elle resta avec la courte chemise de nuit qu’elle portait en dessous et qui ne cachait, ni ne protégeait, aucun coin de son intimité. Je me mis à lui pétrir légèrement les seins à travers le tissu en insistant sur les tétons violets, qu’elle avait durs et tendus. Elle eut un petit ronronnement de chatte satisfaite. Elle prit ma deuxième main et la posa sur son autre sein, pour lui faire subir le même traitement.
    
    Au bout de quelque temps, nous n’en pouvions plus de désir. Elle se trémoussait sur le divan comme si elle était ...
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