1. LE TÉLÉPHONE


    Datte: 23/02/2018, Catégories: Anal Première fois Humour Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... ! Merci ! Meeeerciii »
    
    Et elle raccrocha, toujours sans me laisser le temps de discuter avec elle. Le manège dura longtemps. Tous les scénarii y passèrent : la lycéenne et son professeur; la femme, son amie et le voisin brutal ; elle, son mari et moi ; et d’autres histoires. Jusqu’au jour où ayant fait le tour de ses fantasmes, elle m’appela un matin et me demanda de venir la rejoindre chez elle, pendant que ses enfants étaient à l’école (ils étaient en demi-pension dans une école privée d’un quartier chic). Je n’en crus pas mes oreilles. Je croyais rêver ; je lui fis répéter l’invitation pour m’assurer de sa véracité. Elle me donna l’adresse ; c’était une grande villa, pas très loin du lieu où j’habitais, dans un quartier cossu. Mon cœur battait très vite ; j’étais aussi impressionné qu’un jeune lycéen allant à son premier rendez-vous amoureux. J’allais enfin connaître le mot de la fin, la vérité. J’appuyai très brièvement sur la sonnette d’entrée ; trois secondes plus tard, le grand portail s’entrouvrit une main apparut, me faisant signe d’entrer. Ce que je fis, intimidé et curieux. J’étais dans la cour de la grande villa ; elle était entourée de gigantesques murs de clôtures. Personne alentour, aussi haut perché soit-il, ne pouvait voir à l’intérieur.
    
    Je reconnus tout de suite la propriétaire de la main, bien que je ne l’aie plus vue depuis une quinzaine d’années : Fazo (contraction de Fatma Zohra), l’amie de la plus jeune de mes sœurs. Quel changement entre la ...
    ... petite lycéenne qui venait travailler ses cours et ses examens avec ma sœur et la splendide créature qui est devant moi ! Elle devait avoir maintenant trente trois ans. Elle portait un ensemble rouge d’intérieur très coquet et sexy ; tout en soie et dentelles, dont le dessus tenait grâce à un ruban, rouge lui aussi, noué en papillon. A travers la transparence de la soie et des dentelles je devinais le monde merveilleux d’un corps plantureux avec des rondeurs à faire fantasmer un mort.
    
    - Tu me reconnais ? », me dit-elle de cette voix rauque qui a électrifié mon corps toutes ces dernières nuits.
    
    - FAZO ! lui répondis-je. Si je m’attendais à celle-là ! Tu es vraiment splendide ! Que deviens-tu ?
    
    - Comme tu vois, je suis mariée ; plutôt bien mariée ; un mari aimant et gentil qui a une bonne situation. Comme je te l’ai déjà dit, il travaille au sud dans une compagnie pétrolière ; il est absent sept semaines d’affilée et rentre à la maison pour la même période. Là nous sommes pratiquement à la fin de sa période de travail ; si tout va bien dans une semaine, il sera ici.
    
    Tout en parlant elle me fit entrer dans la maison ; dans un immenses salon où toutes les meubles étaient en double : deux divans, huit fauteuils, un nombre considérables de tapis. Cela sentait l’homme arrivé ! Elle me fit asseoir sur un des divans et s’assit à mes côtés, à environ cinquante centimètres de moi. Je restais encore intimidé, ne sachant pas trop quoi lui dire. C’est elle qui commença à ...
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