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LE TÉLÉPHONE
Datte: 23/02/2018, Catégories: Anal Première fois Humour Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... son biberon et remis dans son berceau, j’étais retournée dans la cuisine préparer le petit déjeuner de mon beau frère et le mien. Il se leva tard, comme à son habitude, pris une douche et vint dans la cuisine habillé d’un pantalon de pyjama de mon mari et d’un de ses tee-shirts qui mettait en valeur son corps d’athlète. « Sa présence créait en moi comme un malaise et me faisait frémir. Mon corps était parcouru de légères décharges électriques qui me faisaient mal, surtout au niveau du bas ventre. J’avais envie de m’offrir à lui, bien qu’il soit le frère de mon mari. J’étais folle de son corps. Il me plaisait énormément. Chaque fois que je le voyais je sentais ma culotte se mouiller ; des fois je coulais tellement que j’étais obligée de changer de culotte. J’étais sûr qu’il devinait l’effet qu’il faisait sur moi. Il en profitait même en me regardant avec insistance comme pour me dire « je sais à quoi tu penses salope ! Tu meurs d’envie que je te saute! De goûter à mon gros bâton » « Il parlait en effet comme cela ; vulgairement. Et cela aussi me titillait en pensant qu’en amour aussi, il devait être brutal, et foncer comme un taureau en rut. Ce matin là donc, il avait remarqué le regard concupiscent que je lançais à ses larges épaules, ses pectoraux et ses biceps. Au moment où je m’approchais de lui pour lui servir son café au lait, il me prit par la taille et détacha la ceinture du peignoir de bain que j’avais gardé depuis la douche du matin. J’étais bien sûre toute ...
... nue en dessous. Je m’étais caressée sous la douche en imaginant sa grosse queue en moi et j’avais décidée de rester nue ; au cas où… « Je n’avais pas fait le moindre petit geste pour résister. J’étais comme dans un autre monde ; rien ne comptait plus que cet homme qui, j’en étais sûr, allait me tirer comme une bête et m’emmener au septième ciel. Je me laissais faire sans rien dire, toute tendue vers le moment où il allait me jeter par terre pour me posséder. Je ne voulais que cela ! Il dévoila ma poitrine gonflée par la grossesse et les premier mois d’allaitement, mais encore ferme et désirable. J’avais encore quelques bourrelets dus à la grossesse, mais je n’avais pas de graisses superflues ; je n’étais pas énorme ; je recommençais à reprendre mon poids normal. J’étais encore très désirable. Il posa directement une main entre mes cuisses qu’il fit écarter avec force et frotta sans ménagement ma chatte que je n’avais plus épilée depuis l’accouchement. Il vit tout de suite que j’étais mouillée; que je coulais. « Tu as envie de baiser salope ! Avec ton beau frère ! Cela t’excite plus de baiser avec moi qu’avec n’importe qui d’autre ? Dis-moi que c’est vrai ! » Je m’entendit lui répondre dans un souffle « oui, c’est vrai ». Je reçus toute de suite une gifle retentissante ; puis une deuxième ; et une troisième. Ma tête valsait, allait de droite à gauche, puis de gauche à droite suivant la direction des coups. Il s’arrêta au bout de la cinquième ou sixième gifle, voyant que je ...