La Belle des années folles - chapitre 6
Datte: 23/03/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Abadi, Source: Hds
... hommes. Et, si elle n'a jamais de culotte, elle sait mettre de très jolis dessous coquins que ce soit pour mettre en valeur sa poitrine ou surtout ses jolies jarretières soutenant de fins bas de belle soie.
Lorsqu'il lui arrive de rester presque toute la soirée au bar, elle boit avec tous les clients, histoire de leur faire remettre les tournées, et bien souvent sur le coup des deux heures du matin quand la nuit s'avance, elle est '' à niveau '', pas complètement saoule, mais très excitée et avec des envies d'autant plus compréhensibles, que l'environnement est tout à fait propice à donner ce type d'envies. Mais elle ne termine jamais la nuit avec les clients, même pour tout l'argent qu'ils pourraient lui donner. C'est une question de principe dit-elle :
-'' On ne peut mener une maison et se donner les libertés du personnel !".
Et, lorsqu’elle est ainsi, éméchée et pleine d'envies, derrière son bar elle se trousse et debout, elle s'appuie et se frotte la chatte sur ce qu'elle appelle ''son cheval de bataille''. En fait, il s'agit d'un astucieux dispositif : une sorte de mandrin en plastique creux, comme un gros doigt de gant, enfilé sur une des poignées à bascule des portes du placard sous le bar, poignée comme en voyait encore dans les années cinquante. Ainsi, de par sa hauteur, sa forme et sa position, cette poignée ''habillée'' imite un énorme braquemart dressé, invitant toute fente chaude et avenante à venir s'y enfiler… Le plus souvent accoudée au bar, tout en ...
... continuant de discuter avec les clients, elle se frotte le haut de la fente sur la bite artificielle ; et aussi le clitoris qu'elle a elle aussi, très développé. Elle se branle ainsi de façon lascive et lancinante jusqu'à la jouissance. Celle-ci peut venir au bout d'un long moment de ce manège et se concrétise presque toujours dans un déluge verbal de mots orduriers et blasphématoires et dans un déferlement de foutre et de cyprine chaude qui lui dégouline le long des jambes et s’étale en une mare sur le parquet, sous les clairevoies du caillebotis qui occupe le passage derrière le bar. D’ailleurs, le sol à l’aplomb de la poignée en garde les marques d’une fois à l’autre, tant il s’imbibe de la liqueur foutrale.
Ces jouissances, ajoutées à l'alcool, ont pour conséquence de lessiver '' la Belle Adèle '', qui trouve là le prétexte pour laisser aller son corps. Alors, elle se laisse glisser sur la '' fausse queue '' du bar où elle se baise pour de vrai… On verra plus loin que ces séances sont également l'occasion de moments très sympathiques pour la clientèle…
Bien qu’elle n’aille jamais jusqu’à se faire baiser, elle aime beaucoup exciter les hommes et particulièrement les petits jeunots qui fréquentent parfois son établissement. Il lui arrive même assez souvent de se trousser, ou de se laisser trousser, et de se " montrer aux p’tits gars " comme elle dit, juste pour les faire bander. (Photo 4).
Et quelle est donc la spécialité de la belle et jeune Jeanne demanderez-vous ...