La Belle des années folles - chapitre 6
Datte: 23/03/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Abadi, Source: Hds
... généreux et entreprenant, ou plus encore pour les sucer sous la table. Elle n'aime rien tant que de passer sous les tables pendant que les clients, à peine installés lésinent sur la commande des consommations… Défaisant habillement les braguettes, elle fait saillir hors des linges des membres de toute forme et de tout calibre, des plus gros au plus maigres en passant par les plus noueux, les plus velus, les plus dodus, les plus tordus, les plus ventrus, les plus pointus, les plus… Elle s'en empare avec une dextérité sans pareil, à laquelle ne peut résister aucun quidam normalement constitué… (Photo 3).
A coups de langue experte, son but à ce moment-là est de faire passer la commande en arrière-plan des préoccupations, ce que la patronne ne manque jamais de mettre à profit… Puis, se prenant au jeu, elle met tant de cœur à ses turlutes, qu'au bout d'un moment elle réclame son dû en nature : une forte décharge de foutre dans la bouche ou sur le visage… Friande de sperme chaud, elle reste ensuite un long moment à sucer la bite qui s'amollit doucement dans sa bouche, en se léchant les babines et en se nettoyant le visage avec le doigt qu'elle suce ensuite consciencieusement… Il lui arrive aussi de faire décharger les types dans sa batave, souvent plusieurs à la suite. Puis, elle lèche longuement et avec application le béret de marin imbibé de foutre visqueux.
Certains soirs où elle est aussi passablement ivre, après avoir disposé sa batave pleine de sperme, bien étalée sur ...
... une table avec d'infinies précautions, se faisant aider pour grimper sur la table et là, moyennant quelques monnaies, largement accroupie au-dessus de la coiffure, elle pisse longuement dedans (ou plutôt dessus !), comme si le béret de marin était un pot de chambre. Evidemment pour le plus grand plaisir des hommes qui entourent l'opération et qui ne manquent pas d'y aller de leurs commentaires salaces et gouailleurs à l'égard de la grande Léo, ajoutant moult billets sur les demandes expresses de l’Adèle…
Léopoldine, elle aussi monte fréquemment '' en chambre '' comme elle dit, parfois accompagnée de La Fernande. Toutes les deux ne répugnent pas à s'offrir ensemble à un homme, pour peu qu'il soit généreux, bien monté et qu'il assure un maximum du côté des efforts à fournir, tant financiers que sexuels…
Quant à la patronne, ''l'Adèle'', comme on la nomme dans l'établissement, elle aime bien se faire passer la main sous la jupe, lorsqu'elle apporte le champagne aux tables. Est-ce de la stratégie commerciale pour forcer indirectement à vente, on ne le saurait dire. En tout cas, elle ne porte jamais de culotte sous ses jupes assez courtes et toujours amples, qu'elle fait tourner, frôlant les clients, en se déplaçant entre les tables, comme une invitation à passer la main dessous, ce qui évidemment arrive très fréquemment… Malgré sa cinquantaine et sans doute un peu plus, elle est encore très sexy et attirante : son métier lui a appris à bien mettre en avant ce qui séduit les ...