1. Autres lieux, autres moeurs


    Datte: 22/03/2019, Catégories: fh, fhh, cocus, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, cocucont, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... le noir Cédric la baiser. Sans jeu de mots, c’est maintenant une queue noire qui a disparu dans son vagin. La coquine. La salope. Elle est bien aussi perverse que moi de faire ce que nous faisons. Elle se fait du bien en ondulant sur la cheville noire. Elle me provoque en me souriant alors que déjà ses yeux se troublent.
    
    Elle s’active un moment. Ses mains vont de son clito à ses seins ne sachant plus où donner de la caresse. John décide pour elle, il s’empare de ses deux tétons roses et les tord entre ses doigts. La cavalière passe du trot au galop. Ses fesses claquent sur les cuisses de son amant. Je la connais bien, sa jouissance va venir. Elle m’a oublié. Elle est seule, concentrée.
    
    Elle jouit.
    
    Elle s’effondre sur John.
    
    Mais John n’en a pas fini avec elle. Il la pousse. Il se relève. Anne n’est plus qu’une poupée entre ses mains. Il la fait placer en levrette au bord du lit. De ses mains puissantes, il lui fait lever la croupe et la force à poser sa tête sur le lit. La courbure est impressionnante. On ne voit plus que les fesses qui font une excroissance sur le lit.
    
    Anne, mais est-ce un hasard, a le visage qui regarde de mon côté.
    
    John se place. La pénétration est puissance, totale, sans hésitation.
    
    — Oh ! ne peut que dire la femme enfilée si promptement.
    
    Après tout, elle voulait de l’imprévu, de la rudesse, eh bien son amant noir l’a comprise à demi-mot. Demi-mot, mais pas demi-mesure. John est le mâle dans toute sa splendeur. Je ne pouvais ...
    ... imaginer mieux. La chienne sur le lit est à sa disposition. Il la possède. Il la baise. La queue est magnifique et encore une fois je félicite Anne d’avoir choisi cet homme. La queue sombre se détache parfaitement lorsqu’elle quitte pendant une fraction de seconde la chaleur de ce trou rose, avant de replonger en conquérante.
    
    Je ne peux me retenir de me lever et de m’approcher. Je regarde. Je mate. J’apprécie. Mon cerveau est une caméra parfaite capable de voir la scène en totalité et se « focuser » en même temps sur un détail.
    
    Le détail de la peau blanche d’Anne qui rosit là où les mains de l’homme s’agrippent.
    
    La courbure parfaite qu’elle offre à son amant.
    
    La main qu’elle a glissée sous elle et qui doit caresser encore son bouton.
    
    La crème qui semble sortir du vagin et enduire la capote, mélange de foutre abandonné et de liqueur de jouissance.
    
    Mais la vue n’est pas le seul sens.
    
    L’odeur est prenante. Odeur de débauche, de transpiration, de salive suintante, de foutre déjà croupissant.
    
    Le son aussi participe. Bruit du ventre masculin qui frappe les fesses blanches. Bruit de halètement de la chienne qui se fait prendre. Bruit de respiration de l’homme qui s’active.
    
    Quel délice ! Je ne pouvais imaginer mieux.
    
    Pas sûr !
    
    Je vois John sucer son propre pouce et le diriger vers Anne. Vers Anne et son petit trou. Le pouce disparaît aussitôt, sans effort. Ne reste qu’une main plaquée sur la fesse, crochetée par le pouce dans le cul de ma femme.
    
    À peine ...
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