1. Autres lieux, autres moeurs


    Datte: 22/03/2019, Catégories: fh, fhh, cocus, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, cocucont, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... retourne m’asseoir.
    
    Elle sort. Il lui faut quelques secondes pour que ses yeux retrouvent la noirceur de la nuit.
    
    J’attends. Vingt, trente minutes passent. Et si elle n’osait pas ! Ou bien que l’homme la culbute en chemin !
    
    Non, elle entre. En réalité, elle passe le seuil de la porte, laissant dans l’obscurité son bras tendu. C’est comme si elle vérifiait que j’étais bien là. Que je n’avais pas changé d’avis.
    
    Un sourire suffit à la rassurer. Son mari est bien dans le fauteuil. Il a même fini de se déshabiller en enlevant sa chemise. Elle avance. L’homme suit. C’est John, le majordome de la maison. Je ne m’attendais pas à lui. Mais après tout c’est une excellente idée. Pour une première fois autant que tout soit nouveau. Je n’ai jamais fait de fixation sur ma femme avec un noir. Dans mes rêves l’homme était toujours comme moi, en plus jeune, plus beau, peut-être un peu mieux pourvu par la nature.
    
    Pendant mes réflexions le couple s’avance. John m’a vu. Il ne semble pas surpris. Elle l’a prévenu sûrement, mais je pense que ce n’est pas la première femme blanche qu’il va baiser, avec mari ou pas.
    
    La suite n’est qu’une succession d’enchaînements que j’ai déjà imaginés, mais qui se déroulent sous mes yeux.
    
    Anne, qui tout en me regardant, enlève le polo de John.
    
    Anne qui enlève avec précaution, comme si elle avait peur de blesser, le short et le slip de l’homme. Le sexe apparaît. Quelle excellente idée de l’avoir choisi, lui, dont la peau noire tranche sur ...
    ... celle de ma femme.
    
    Anne qui pousse John sur le lit.
    
    Anne qui se saisit de l’engin, le palpe et qui tout en regardant de mon côté se penche pour l’embrasser.
    
    Le sexe qui se déploie lentement sous les caresses de ma femme. Belle bite sombre, élégante, élancée qu’elle cajole de ses lèvres. Qu’elle lèche de sa langue. Qu’elle embouche lentement prenant la dimension de la queue noire.
    
    Mon propre sexe se met à l’unisson. Je bande.
    
    Si Anne n’avait la bouche pleine, je suis sûr que je verrais un sourire sur ses lèvres alors qu’elle constate que je deviens raide. Cela doit la libérer du reste d’inquiétudes si jamais elle avait douté de ma réelle envie.
    
    Elle le suce. Je sais par expérience qu’elle suce bien. Cédric pourrait le confirmer, lui qui a éjaculé dans sa gorge. Mais sous mes yeux, elle fait plus que s’appliquer. La coquine me provoque. Elle va jusqu’à gober les couilles avec une gourmandise feinte ou pas feinte, mais qui nous ravit, John et moi.
    
    Le sexe est luisant. Oh, elle sait l’enduire de salive et la brasser avec ce petit bruit si caractéristique. Et puis, John lui tend une capote. Elle la déroule sur le bâton vertical.
    
    Anne bouge. Elle monte sur le lit. C’est ma femme qui s’installe sur l’homme. C’est ma femme qui guide de la main le bout rose foncé vers sa chatte. C’est ma femme qui descend avec une concentration perverse et s’enfile l’engin jusqu’à venir se reposer sur les cuisses de son amant.
    
    Je regarde. J’avais fantasmé. J’avais deviné dans ...
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