La rencontre de ma maitresse
Datte: 21/03/2019,
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Auteur: CathR6, Source: Revebebe
... message. « Enlève ta culotte et mets-la dans ton sac à main. » Il faut que cela s’arrête. Je reprends mon téléphone et réponds. « S’il vous plaît, merci de ne plus m’envoyer de messages ». La réponse est quasi-immédiate. « Je n’ai pas l’habitude de répéter deux fois mes ordres ». Je n’aurais jamais dû l’appeler. Comment m’en sortir maintenant ? Il faut que je lui dise d’arrêter.
Je suis arrivée en avance. Quelques minutes plus tard, je l’ai vue descendre les marches qui mènent au quai. Elle est venue jusqu’à moi et s’est installée à quelques centimètres. Elle a sorti son téléphone portable et s’est mise à pianoter. Quelques instants plus tard, le mien a vibré. Tremblante de peur, je l’ai sorti et ai lu le message. « Donne-moi ta culotte ». J’ai répondu d’une main malhabile. « Je ne l’ai pas enlevée, arrêtez s’il vous plaît, c’est un malentendu ». La réponse revient rapidement. « Un malentendu ? Tu es là parce que tu meurs d’envie que je te baise ». Mon corps est électrique. Je suis au bord des larmes. Paralysée de terreur. Je me tourne vers elle, les yeux baissés et je chuchote, apeurée :
— S’il vous plaît…
Elle répond d’un ton sec.
— Tais-toi, et suis-moi !
J’obéis comme un automate et monte derrière elle dans la rame. Cette fois-ci, elle me fait face. Je ne parviens toujours pas à soutenir son regard. J’essaie de reprendre mes esprits, de ne pas éclater en sanglots. Je sens son corps contre le mien, je sens l’insidieuse chaleur à nouveau qui me gagne. Elle ...
... me met une tape sèche sur la cuisse au moment de descendre. Je frémis et je la suis, toujours sans un mot. Hors du métro, elle s’engage dans une petite rue, sans même se retourner. Je continue. Un peu plus loin, elle entre dans un immeuble. Je la suis à l’intérieur. Nous montons l’escalier jusqu’au troisième étage. Devant la porte, sur le palier, elle pose son sac et se retourne vers moi.
— Déshabille-toi.
Je manque de m’évanouir. Je sens mes lèvres trembler, mais pas un son ne sort de ma bouche. Je pose mon sac à main. J’enlève ma veste et la pose par terre. Je dégrafe la fermeture Eclair de ma jupe et la laisse glisser sur mes jambes. Elle continue de me regarder, l’air goguenarde. Je me sens ridicule, avec mes collants noirs et ma culotte blanche. Je déboutonne mon chemisier rapidement, tentant d’aller vite pour en finir, pour ne pas que quelqu’un passe par là. J’essaie de rester digne. J’ai honte, terriblement honte. J’enlève mes escarpins, puis je roule mes collants vers le bas, avant de les enlever. Je reste quelques instants ainsi, les bras ballants, en soutien-gorge et culotte de coton.
— J’ai dit nue !
J’avale ma salive avec difficulté. Je dégrafe mon soutien-gorge et le laisse tomber au sol. J’inspire profondément, puis je fais glisser ma culotte le long de mes cuisses.
— Remets tes chaussures !
J’obéis. Elle ramasse rapidement mes vêtements et les roule en boule. Elle commence à descendre l’escalier. Je panique. Elle se retourne et me sourit.
— ...