La rencontre de ma maitresse
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
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Auteur: CathR6, Source: Revebebe
... je ne sais pas. Lorsque la rame arrive, elle se lève et vient se placer juste derrière moi. La porte s’ouvre et nous laissons descendre quelques personnes avant d’entrer. Je la sens qui joue des coudes pour rester près de moi. Les portes se referment. Je jette un coup d’œil rapide par-dessus mon épaule. Elle est juste derrière moi, c’est son corps qui se presse contre le mien. Elle passe son bras le long de mon flanc pour s’accrocher au poteau central. Elle glisse sa jambe droite entre les miennes. Je sens son pied presser avec insistance sur ma cheville, comme pour l’écarter. Paniquée, j’obéis. Sans même réfléchir. J’écarte mon pied et je me redresse légèrement. Elle coupe le contact un instant, puis je sens sa main se poser sur mes fesses. Délicatement. Le pouce sur le creux de mes reins et le majeur le long du sillon, jusqu’à mon périnée. Instinctivement, je cambre encore un peu les reins. Je dois être folle. Je suis dans le métro, en train d’offrir mon cul aux caresses d’une inconnue. Je jette des coups d’œil inquiets sur les côtés, essayant de m’assurer que personne ne nous voit.
Tout semble normal, les regards vides, fixant les fenêtres ou les parois de la cabine. Je sens l’excitation qui monte en moi, l’humidité qui se fait jour dans mon sexe, mon anus qui se dilate légèrement. Elle commence à me masser doucement, le pouce descendant sur la rosette de mon anus. La sensation est incroyablement agréable. À la station suivante, elle s’écarte. Je la sens dans mon dos ...
... fouiller dans son sac. Puis sa main à nouveau qui passe sous la fente du bas de ma veste et glisse un bristol dans mon pantalon, sous la ceinture. Elle descend à la station suivante. J’attends d’être sortie du métro pour dégager le bristol. Elle y a écrit « appelle-moi », avec un numéro de téléphone portable. Rentrée chez moi, je me fais couler un bain chaud. Je me masturbe lentement, jusqu’à la jouissance. Une jouissance profonde. Je n’ai jamais imaginé qu’une femme puisse me procurer autant de plaisir. J’essaie de vaquer à mes occupations sans trop y penser. Mais je n’arrive pas à chasser cette sensation de ma tête.
Le lendemain, au bureau, je tourne et retourne le bristol entre mes mains. J’hésite. J’ai peur. Peur d’aller trop loin. Je ne suis pas lesbienne. Il faut que je clarifie avec elle, qu’elle ne me suive plus dans le métro. Je compose le numéro sur mon portable. Après deux sonneries j’entends une voix qui dit « Allô ». Paralysée, je ne sais que dire. Elle répète « allô » plusieurs fois, passablement énervée. Je raccroche brutalement. Mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine. J’ai failli faire une erreur. Soudain, mon téléphone vibre. Un SMS. C’est son numéro. J’appuie avec appréhension sur le bouton. « 18h30 précises. Sur le quai. » La tension monte en moi tout l’après-midi. Je n’ai qu’à ne pas y aller. Prendre le métro à la station suivante. Rentrer en taxi. Rien ne m’oblige à y aller. Quelques minutes avant 18h, mon téléphone vibre à nouveau. Un nouveau ...