1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (3)


    Datte: 21/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... avait mal, plus je forçai, c’est dire si je me retrouvai très vite au fond.
    
    Je n’eus aucune pitié pour elle, elle cria, supplia mais je lui déchirai l’anus sans ménagement. Cependant elle s’y fit assez vite et Thierry, quand elle eut fini de gueuler put l’obliger à reprendre sa fellation.
    
    — Putain quelle pompeuse ! Elle aime la bite ta femme. J’en ai baisé des putes, mais celle-là, elle est au hit-parade !
    
    La fatigue se faisait sentir mais c’était super bon.
    
    — Bordel, c’est génial, c’est serré, c’est le pied.
    
    Je ne tardai pas à venir.
    
    — Putain j’vais jouir, j’vais jouir dans son gros cul de pétasse là !
    
    — Fais pas ça malheureux ! Viens lui juter à la tronche !
    
    L’idée me parut séduisante et je me défis du trou pour me présenter face à elle.
    
    Thierry rabattit le voile plus qu’à moitié défait sur la tête et je jutai abondamment dessus.
    
    — Putain, t’avais les baloches bien pleines !
    
    — Ouais, faut croire... bon ben, maintenant, elle est à vous les mecs, j’vais me coucher... vous pouvez vous y mettre à trois si vous voulez.
    
    Déjà, Charles s’enduisait la pine de crème à vache.
    
    Je restai un instant pour voir.
    
    Il sodomisa ma femme sous les applaudissements des deux autres qui fêtaient ainsi la perte de son pucelage.
    
    — Ah, c’est bon les gars, c’est bon. C’est aussi bon qu’une chatte ?
    
    — C’est plus serré mais plus sec. Regarde la différence. Descends d’un étage.
    
    Il ressortit sa bite et la planta dans le vagin. Le garçon ...
    ... s’extasiait.
    
    Thierry avait enlevé le voile et se refaisait sucer.
    
    — On pourrait avoir chacun son trou, suggéra Dominique qui en avait sans doute assez de se tirer sur la nouille en nous regardant faire.
    
    — Tu veux quel trou ?
    
    — J’veux bien me faire pomper.
    
    Je les laissai au moment où ils se mettaient en ordre de bataille sous les ordres du général de corps de pute, Thierry.
    
    Je les entendis encore rire, gueuler, insulter la pute qui criait de plaisir, j’entendis les chairs claquer, puis je me plongeai dans un profond sommeil.
    
    Vers 13 H 00, la porte extérieure s’ouvrit. C’était Jean-Robert. Conformément à ce qui avait été décidé de longue date, il venait nous chercher pour nous emmener chez mes beaux-parents où le retour de noce avait lieu dans la grange.
    
    — Elle n’est pas là la jeune mariée dit-il ?
    
    — Dans la chambre à côté. Va la prendre si tu veux.
    
    J’utilisais cette formule ambiguë à dessein.
    
    — J’veux pas déranger.
    
    — Bah ! On est assez intime à ce qu’il paraît.
    
    Il frappa et, comme aucune réponse ne vint, il ouvrit.
    
    Il se figea sur place.
    
    Quelqu’un avait tiré les rideaux mais la pénombre n’empêchait pas de voir distinctement ce qu’il se passait.
    
    Thierry dormait sur le tapis, la tête dans un oreiller, un drap sur le corps mais, comme il avait bougé, son gros sexe était à l’air.
    
    Dominique ronflait sur le lit. Charles, toujours fasciné par la découverte de la baise semblait vouloir rattraper le temps perdu et était étendu sur ma femme qu’il sautait ...
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