1. Manue


    Datte: 20/03/2019, Catégories: fh, piscine, magasin, amour, Auteur: Arno, Source: Revebebe

    ... moi.
    
    Et là, j’explosai sur elle, son cou, ses seins, longuement, malgré mes précédentes jouissances. Elle était heureuse, étala mon sperme sur sa peau, se colla a moi sur la pointe des pieds, m’embrassa, se pencha, me goba et joua de sa langue sur mon gland si sensible, elle le sait quand j’ai joui, et déjà s’apprêtait à sortir du vestiaire. Je la suivis, j’avais repris des proportions à peu près normales. La femme dehors se redressa et nous fit un petit signe complice. Manue me proposa de rentrer à la boutique et on partit tous les deux, main dans la main, nus, nos affaires sous le bras.
    
    La suite allait se montrer à la hauteur de ce préambule.
    
    Manue et moi, donc, marchâmes prestement vers sa boutique. Elle me reparla alors de son mec qui n’assurait pas, bloqué sur la position du missionnaire et sur le câlin du soir sous la couette. Au vu des plans que nous avions partagés, je concédai que cela devait être mortellement monotone.
    
    — Il ne m’a toujours pas baisée dans la boutique ! insistait-elle encore, comme s’il y avait là de quoi lancer une fatwa contre lui.
    
    C’est le genre d’info qui ne fut pas perdue pour tout le monde et je m’empressai de lui dire qu’aussitôt arrivés, j’avais bien l’intention de réparer cette grave omission. Nous rigolâmes ensemble et dans nos regards à ce moment, on pouvait lire la faim qui nous tenait.
    
    Agréable sensation que de marcher à poil, décontracté du gland, le tout bien lourd et bien pesant comme après un bel orgasme. Manue ...
    ... avait la peau qui scintillait aux endroits où je devinais quelques coulures de mon foutre mal rincé tel il est vrai que l’eau et le sperme ne font pas bon ménage.
    
    Je mentirais si je vous disais que je traînais des pieds pour gagner le lieu de notre prochain corps à corps. Nous arrivâmes rapidement dans sa boutique, une échoppe des plus simples, toute en bois, porte d’accès par l’arrière, étal devant dans une sorte de véranda ouverte qui se fermait avec deux volets roulants en plastique. Les présentoirs étaient en bois, recouverts d’une vitre épaisse pour un nettoyage facile et en partie recouverts de fruits et légumes bios.
    
    L’idée de jouer à la marchande avec ma petite Manue me plaisait bien. La miss ne perdit pas de temps, balaya de la main les légumes qui auraient pu la gêner et se fit un espace assez large pour s’allonger à son aise. Elle se retrouva nue devant moi, les cuisses grandes ouvertes, couchée sur le dos, étalée sur l’étal si j’ose dire. Elle posa ses pieds sur le bord et s’ouvrit comme sur la table du gynéco. Cette fille ne manquait pas d’aplomb, je vous le dis, car déjà elle m’ordonna, je cite : « de venir lui manger la chatte ».
    
    La petite peste, quand elle était surchauffée, devenait vite limite vulgaire. Ce n’était pas pour me déplaire, bien au contraire et je m’exécutai volontiers. Je plaçai son tabouret de caisse face à elle et piquai du nez dans ce qui m’était si bien présenté. Manu n’était pas du genre à partir en deux minutes avec cette caresse. Je ...
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